JOHANNESBURG – Maintenant que la Réserve fédérale des États-Unis (Fed) commence à réduire son bilan en tournant la page du stimulus monétaire entamé il y a près d’une décennie, les économies émergentes s’inquiètent du fait qu’un dollar plus fort aura des conséquences négatives sur leur capacité à honorer leurs dettes libellées dans cette devise. Cette préoccupation est particulièrement forte en Afrique où, depuis que les Seychelles ont émis leurs premières euro-obligations en 2006, le total des montants dus sur les euro-obligations s’élèvent à près de 35 milliards de dollars.
JOHANNESBURG – Maintenant que la Réserve fédérale des États-Unis (Fed) commence à réduire son bilan en tournant la page du stimulus monétaire entamé il y a près d’une décennie, les économies émergentes s’inquiètent du fait qu’un dollar plus fort aura des conséquences négatives sur leur capacité à honorer leurs dettes libellées dans cette devise. Cette préoccupation est particulièrement forte en Afrique où, depuis que les Seychelles ont émis leurs premières euro-obligations en 2006, le total des montants dus sur les euro-obligations s’élèvent à près de 35 milliards de dollars.