DUBAÏ – Tandis que les États de tout le Proche-Orient s’efforcent de réduire la dépendance de leur économie sur les ressources naturelles en les rendant plus diversifiées, plus capables de s’adapter, il faudrait qu’ils prennent quelques enseignements de l’exemple remarquable de Dubaï.
En moins d’une génération, Dubaï s’est métamorphosée en un carrefour majeur d’investissement, de commerce et de grande culture. Même si la crise financière mondiale de 2008 a frappé de plein fouet cette Cité-État (car elle est exposée à une surenchère des valeurs immobilières), elle s’est vite remise sur pied, comme en témoigne sa candidature pour des événements comme l’Exposition internationale de 2020.
La façon dont Dubaï est parvenue à passer au travers de la crise et même de tirer son épingle du jeu mérite un examen plus poussé. J’ai donc entamé, depuis l’été dernier, une enquête sur le dénommé modèle de croissance robuste de Dubaï et les enjeux qu’elle pourrait avoir à relever. Dans le cadre de mes recherches, j’ai mené plus de 40 entretiens de fonds avec les fonctionnaires de l’État et les représentants du monde des affaires et j’ai complété mes observations par des sources de données secondaires.
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While carbon pricing and industrial policies may have enabled policymakers in the United States and Europe to avoid difficult political choices, we cannot rely on these tools to achieve crucial climate goals. Climate policies must move away from focusing on green taxes and subsidies and enter the age of politics.
explains why achieving climate goals requires a broader combination of sector-specific policy instruments.
The long-standing economic consensus that interest rates would remain low indefinitely, making debt cost-free, is no longer tenable. Even if inflation declines, soaring debt levels, deglobalization, and populist pressures will keep rates higher for the next decade than they were in the decade following the 2008 financial crisis.
thinks that policymakers and economists must reassess their beliefs in light of current market realities.
DUBAÏ – Tandis que les États de tout le Proche-Orient s’efforcent de réduire la dépendance de leur économie sur les ressources naturelles en les rendant plus diversifiées, plus capables de s’adapter, il faudrait qu’ils prennent quelques enseignements de l’exemple remarquable de Dubaï.
En moins d’une génération, Dubaï s’est métamorphosée en un carrefour majeur d’investissement, de commerce et de grande culture. Même si la crise financière mondiale de 2008 a frappé de plein fouet cette Cité-État (car elle est exposée à une surenchère des valeurs immobilières), elle s’est vite remise sur pied, comme en témoigne sa candidature pour des événements comme l’Exposition internationale de 2020.
La façon dont Dubaï est parvenue à passer au travers de la crise et même de tirer son épingle du jeu mérite un examen plus poussé. J’ai donc entamé, depuis l’été dernier, une enquête sur le dénommé modèle de croissance robuste de Dubaï et les enjeux qu’elle pourrait avoir à relever. Dans le cadre de mes recherches, j’ai mené plus de 40 entretiens de fonds avec les fonctionnaires de l’État et les représentants du monde des affaires et j’ai complété mes observations par des sources de données secondaires.
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