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San Francisco – De grandes parties du monde ont été laissées à l’écart des remarquables progrès mondiaux en termes de santé faits au cours du dernier siècle. En effet, des millions de décès dans des pays pauvres seraient évitables avec des outils de prévention et de traitements que le monde riche utilise déjà.
Cette année, dix millions d’enfants vont mourir dans des pays aux revenus faibles et moyens. Si le taux de mortalité infantile était le même que dans les pays développés, ce chiffre serait inférieur à un million. À l’inverse, si le taux de mortalité était égal à celui des pays riches il y a un siècle, ils seraient trente millions à mourir.
La différence-clé entre alors et aujourd’hui ne relève pas du revenu mais des connaissances techniques sur les causes des maladies, les interventions pour les éviter, ou au moins les symptômes les plus pernicieux. Les outils dont nous disposons aujourd’hui pour améliorer la santé sont si puissants et peu onéreux que les conditions de santé devraient être raisonnablement bonnes, même dans les pays pauvres, si les décideurs dépensaient même relativement peu d’argent dans les bons postes.
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