CANBERRA – La « résilience, » un peu comme l’amour, est une chose difficile à définir. Il semble pourtant que tout le monde en parle actuellement – du Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon aux agences gouvernementales, en passant par les conseils d’administration des entreprises ou encore les groupes communautaires – et s’interroge sur les moyens de la bâtir et de la maintenir. La résilience est-elle ainsi un concept utile, ou une simple expression de buzz du moment ?
Afin de répondre à cette question, il nous faut commencer par en soulever une autre : À quel point pensons-nous pouvoir changer sans pour autant devenir quelqu’un d’autre ? À quel point un écosystème, une ville ou une entreprise peuvent-ils changer avant de ressembler à – et de fonctionner comme – un nouveau type d’écosystème, de ville ou d’entreprise ?
Toutes ces entités constituent des systèmes auto-organisés. Notre corps, par exemple, entretient une température constante d’environ 37 degrés Celsius. Lorsque la température de notre corps augmente, nous commençons à transpirer afin de le refroidir ; lorsque celle-ci diminue, nos muscles s’activent (sous forme de frissons) pour le réchauffer. Notre corps se base sur des rétroactions négatives dans le but de fonctionner de la même manière, aussi constamment que possible.
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The OpenAI saga – in which founder and CEO Sam Altman was suddenly fired and then reinstated, together with a new governing board – may have been enthralling, but it was neither novel nor surprising. Historically, capital usually wins out when there are competing visions for the future of an innovative product or business model.
shows why OpenAI’s efforts to preserve its founding non-profit mission never stood any chance.
Climate change is expected to displace tens of millions of people by mid-century, especially in the Global South. By enhancing international cooperation, we could improve the lives and livelihoods of the displaced and develop sustainable solutions that enable affected communities to rebuild.
urge leaders to take a holistic approach to addressing the sharp increase in weather-related displacement.
Antara Haldar
advocates a radical rethink of development, explains what went right at the recent AI Safety Summit, highlights the economics discipline’s shortcomings, and more.
CANBERRA – La « résilience, » un peu comme l’amour, est une chose difficile à définir. Il semble pourtant que tout le monde en parle actuellement – du Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon aux agences gouvernementales, en passant par les conseils d’administration des entreprises ou encore les groupes communautaires – et s’interroge sur les moyens de la bâtir et de la maintenir. La résilience est-elle ainsi un concept utile, ou une simple expression de buzz du moment ?
Afin de répondre à cette question, il nous faut commencer par en soulever une autre : À quel point pensons-nous pouvoir changer sans pour autant devenir quelqu’un d’autre ? À quel point un écosystème, une ville ou une entreprise peuvent-ils changer avant de ressembler à – et de fonctionner comme – un nouveau type d’écosystème, de ville ou d’entreprise ?
Toutes ces entités constituent des systèmes auto-organisés. Notre corps, par exemple, entretient une température constante d’environ 37 degrés Celsius. Lorsque la température de notre corps augmente, nous commençons à transpirer afin de le refroidir ; lorsque celle-ci diminue, nos muscles s’activent (sous forme de frissons) pour le réchauffer. Notre corps se base sur des rétroactions négatives dans le but de fonctionner de la même manière, aussi constamment que possible.
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