BERKELEY – Cela fait maintenant un an et demi que Donald Trump a été élu président des États-Unis, et le moment est peut-être venu pour les Américains de prendre du recul et de considérer la déliquescence de leur système politique.
Certes, les États-Unis n’ont pas connu de catastrophes majeures, même si des faux pas politiques colossaux semblent constamment pointer à l’horizon. Le pays se meurt toutefois d’innombrables fractures et plus longtemps Trump restera au pouvoir, plus la richesse et la puissance des États-Unis se dégraderont.
La responsabilité en incombe en grande partie aux républicains, qui se sont alignés derrière Trump pour des raisons encore difficiles à comprendre. Trump a été élu avec un peu plus de 60 millions de voix, soit 3 millions de moins que son adversaire, Hillary Clinton. Mais il a été publiquement soutenu par un large éventail de pontes, de conseillers et de militants républicains, qui savaient pourtant tous qu’une présidente Clinton ferait courir un moindre risque aux États-Unis.
BERKELEY – Cela fait maintenant un an et demi que Donald Trump a été élu président des États-Unis, et le moment est peut-être venu pour les Américains de prendre du recul et de considérer la déliquescence de leur système politique.
Certes, les États-Unis n’ont pas connu de catastrophes majeures, même si des faux pas politiques colossaux semblent constamment pointer à l’horizon. Le pays se meurt toutefois d’innombrables fractures et plus longtemps Trump restera au pouvoir, plus la richesse et la puissance des États-Unis se dégraderont.
La responsabilité en incombe en grande partie aux républicains, qui se sont alignés derrière Trump pour des raisons encore difficiles à comprendre. Trump a été élu avec un peu plus de 60 millions de voix, soit 3 millions de moins que son adversaire, Hillary Clinton. Mais il a été publiquement soutenu par un large éventail de pontes, de conseillers et de militants républicains, qui savaient pourtant tous qu’une présidente Clinton ferait courir un moindre risque aux États-Unis.