SAN JOSÉ (COSTA RICA) – Lorsque vous regardez votre téléphone ou votre tablette, que voyez-vous ? Des pixels ? des images ? des jeux électroniques ? Moi, j’y vois des données.
Chaque jour, nous générons d’énormes quantités d’informations, cailloux binaires du Petit Poucet, qui dessinent la carte de nos intérêts, de nos habitudes, de nos interactions. Pour ceux d’entre nous qui travaillent à l’aménagement urbain, ces ensembles disparates de données sont une mine d’opportunités. Si elles sont correctement exploitées, les données fournies par les utilisateurs peuvent aider les concepteurs à bâtir des villes qui répondront mieux aux besoins réels des gens.
Reste tout de même un problème : le monde croule littéralement sous les données. Pour que toute l’information que les gens fournissent involontairement prenne un sens, les urbanistes doivent en améliorer la captation, le traitement et le partage entre secteur public et secteur privé. Si nous y parvenons, certains des principaux obstacles auxquels le monde est confronté – de la pauvreté au changement climatique – deviendront un peu plus faciles à surmonter.
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Rather than reducing concentrated market power through “disruption” or “creative destruction,” technological innovation historically has only added to the problem, by awarding monopolies to just one or a few dominant firms. And market forces offer no remedy to the problem; only public policy can provide that.
shows that technological change leads not to disruption, but to deeper, more enduring forms of market power.
The passing of America’s preeminent foreign-policy thinker and practitioner marks the end of an era. Throughout his long and extraordinarily influential career, Henry Kissinger built a legacy that Americans would be wise to heed in this new era of great-power politics and global disarray.
reviews the life and career of America’s preeminent foreign-policy scholar-practitioner.
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SAN JOSÉ (COSTA RICA) – Lorsque vous regardez votre téléphone ou votre tablette, que voyez-vous ? Des pixels ? des images ? des jeux électroniques ? Moi, j’y vois des données.
Chaque jour, nous générons d’énormes quantités d’informations, cailloux binaires du Petit Poucet, qui dessinent la carte de nos intérêts, de nos habitudes, de nos interactions. Pour ceux d’entre nous qui travaillent à l’aménagement urbain, ces ensembles disparates de données sont une mine d’opportunités. Si elles sont correctement exploitées, les données fournies par les utilisateurs peuvent aider les concepteurs à bâtir des villes qui répondront mieux aux besoins réels des gens.
Reste tout de même un problème : le monde croule littéralement sous les données. Pour que toute l’information que les gens fournissent involontairement prenne un sens, les urbanistes doivent en améliorer la captation, le traitement et le partage entre secteur public et secteur privé. Si nous y parvenons, certains des principaux obstacles auxquels le monde est confronté – de la pauvreté au changement climatique – deviendront un peu plus faciles à surmonter.
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