BERLIN – La politique génère de fortes émotions chez tout le monde. Même les Britanniques, en dépit de leur réputation de poursuivre leurs intérêts de manière impassible et calme, ne sont apparemment pas à l'abri. Peut-être que cette réputation n’est qu’un vestige de l’Empire britannique disparu de longue date. En tout cas, elle ne s’applicable sûrement pas au Royaume-Uni de 2017.
Regardez les décisions politiques que les Britanniques ont prises l'an dernier. En juin, ils ont décidé – quoique de justesse – de se retirer de l'Union européenne. Puis, lors des élections générales anticipées le mois dernier, ils se sont prononcés en faveur d’un résultat qui ne fait que renforcer l'impression que le pragmatisme britannique est en retraite.
Les élections – dans lesquelles le Parti conservateur a perdu sa majorité, résultant en un parlement sans majorité – indiquent combien la classe politique à Westminster s’est éloignée du reste du pays. En effet, le Royaume-Uni semble subir non seulement une crise politique et identitaire, mais aussi une crise de confiance dans ses élites politiques et économiques, qui a commencé avec la crise financière mondiale de 2008.
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At the end of European Communism, there was a widespread, euphoric hope that freedom and democracy would bring a better life; eventually, though, many lost that hope. The problem, under both Communism and the new liberal dispensation, was that those pursuing grand social projects had embraced ideology instead of philosophy.
considers what an Albanian Marxist philosopher can tell us about liberty in today's world.
For the US, Slovakia's general election may produce another unreliable allied government. But instead of turning a blind eye to such allies, as President Joe Biden has been doing with Poland, or confronting them with an uncompromising stance, the US should spearhead efforts to help mend flawed democracies.
reflect on the outcome of Slovakia's general election in the run-up to Poland's decisive vote.
BERLIN – La politique génère de fortes émotions chez tout le monde. Même les Britanniques, en dépit de leur réputation de poursuivre leurs intérêts de manière impassible et calme, ne sont apparemment pas à l'abri. Peut-être que cette réputation n’est qu’un vestige de l’Empire britannique disparu de longue date. En tout cas, elle ne s’applicable sûrement pas au Royaume-Uni de 2017.
Regardez les décisions politiques que les Britanniques ont prises l'an dernier. En juin, ils ont décidé – quoique de justesse – de se retirer de l'Union européenne. Puis, lors des élections générales anticipées le mois dernier, ils se sont prononcés en faveur d’un résultat qui ne fait que renforcer l'impression que le pragmatisme britannique est en retraite.
Les élections – dans lesquelles le Parti conservateur a perdu sa majorité, résultant en un parlement sans majorité – indiquent combien la classe politique à Westminster s’est éloignée du reste du pays. En effet, le Royaume-Uni semble subir non seulement une crise politique et identitaire, mais aussi une crise de confiance dans ses élites politiques et économiques, qui a commencé avec la crise financière mondiale de 2008.
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