BERLIN – La politique génère de fortes émotions chez tout le monde. Même les Britanniques, en dépit de leur réputation de poursuivre leurs intérêts de manière impassible et calme, ne sont apparemment pas à l'abri. Peut-être que cette réputation n’est qu’un vestige de l’Empire britannique disparu de longue date. En tout cas, elle ne s’applicable sûrement pas au Royaume-Uni de 2017.
Regardez les décisions politiques que les Britanniques ont prises l'an dernier. En juin, ils ont décidé – quoique de justesse – de se retirer de l'Union européenne. Puis, lors des élections générales anticipées le mois dernier, ils se sont prononcés en faveur d’un résultat qui ne fait que renforcer l'impression que le pragmatisme britannique est en retraite.
Les élections – dans lesquelles le Parti conservateur a perdu sa majorité, résultant en un parlement sans majorité – indiquent combien la classe politique à Westminster s’est éloignée du reste du pays. En effet, le Royaume-Uni semble subir non seulement une crise politique et identitaire, mais aussi une crise de confiance dans ses élites politiques et économiques, qui a commencé avec la crise financière mondiale de 2008.
To continue reading, register now.
Subscribe now for unlimited access to everything PS has to offer.
In a rapidly digitalizing world, central banks are staring down a future in which they may lack the tools necessary to manage crises, and in which they may no longer be able to protect their monetary sovereignty. They should recognize that digital currency is a source of institutional salvation.
thinks governments must embrace central bank digital currencies or risk a fundamental loss of control.
BERLIN – La politique génère de fortes émotions chez tout le monde. Même les Britanniques, en dépit de leur réputation de poursuivre leurs intérêts de manière impassible et calme, ne sont apparemment pas à l'abri. Peut-être que cette réputation n’est qu’un vestige de l’Empire britannique disparu de longue date. En tout cas, elle ne s’applicable sûrement pas au Royaume-Uni de 2017.
Regardez les décisions politiques que les Britanniques ont prises l'an dernier. En juin, ils ont décidé – quoique de justesse – de se retirer de l'Union européenne. Puis, lors des élections générales anticipées le mois dernier, ils se sont prononcés en faveur d’un résultat qui ne fait que renforcer l'impression que le pragmatisme britannique est en retraite.
Les élections – dans lesquelles le Parti conservateur a perdu sa majorité, résultant en un parlement sans majorité – indiquent combien la classe politique à Westminster s’est éloignée du reste du pays. En effet, le Royaume-Uni semble subir non seulement une crise politique et identitaire, mais aussi une crise de confiance dans ses élites politiques et économiques, qui a commencé avec la crise financière mondiale de 2008.
To continue reading, register now.
Subscribe now for unlimited access to everything PS has to offer.
Subscribe
As a registered user, you can enjoy more PS content every month – for free.
Register
Already have an account? Log in