Though Polish voters in October ousted their right-wing populist government, recent elections in Slovakia and the Netherlands show that populism remains as malign and potent a political force as ever in Europe. But these outcomes also hold important lessons for the United States, where the specter of Donald Trump’s return to the White House haunts the runup to the 2024 presidential election.
Le Parlement européen a récemment condamné la tentative du gouvernement polonais visant à déchoir Bronislaw Geremek de son mandat parlementaire. Ancien dirigeant de Solidarité, ancien prisonnier politique et ancien ministre des Affaires étrangères - il a conduit l'adhésion de la Pologne à l'OTAN - Geremek a refusé de signer encore une nouvelle déclaration comme quoi il n'était pas un agent de la police secrète à l'époque du communisme.
Les parlementaires européens ont parlé de "chasse aux sorcières" à propos du comportement du gouvernement polonais et Geremek a déclaré que la loi sur la lustration [décommunisation] constitue une menace pour les libertés publiques. En réponse, le Premier ministre polonais Jaroslaw Kaczynski l'a accusé de "nuire à la mère patrie" et de susciter un sentiment anti-polonais. Les communistes utilisaient les mêmes mots lorsque Geremek critiquait leurs abus de pouvoir.
Une décision du tribunal constitutionnel en date du 11 mai a largement invalidé la loi sur la lustration, permettant à Geremek de conserver sons siège au Parlement européen, au moins pour l'instant. Mais cette loi s'inscrit dans le cadre d'une politique générale du gouvernement polonais qui n'a d'autre but que d'affaiblir les institutions et le tissu démocratiques du pays.
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