Le spectre du national-populisme plane au-dessus des nouveaux États-membres de l’Union européenne en Europe centrale. En effet, le parti Droit et Justice (PiS) vient juste de remporter les élections présidentielles et législatives en Pologne, tandis que les forces politiques nationalistes pourraient arriver en tête aux élections qui se tiendront, l’an prochain, en Hongrie, en République tchèque et en Slovaquie.
Ce sont des développements d’importance capitale. Pendant 15 ans, l’Europe centrale s’est
comportée comme un élève modèle du processus de démocratisation. Actuellement, selon l’ancien Président tchèque Václav Havel, la région pourrait se retrouver bloquée dans une « atmosphère suffocante ». Même le propre successeur de Havel, Václav Klaus,
Le spectre du national-populisme plane au-dessus des nouveaux États-membres de l’Union européenne en Europe centrale. En effet, le parti Droit et Justice (PiS) vient juste de remporter les élections présidentielles et législatives en Pologne, tandis que les forces politiques nationalistes pourraient arriver en tête aux élections qui se tiendront, l’an prochain, en Hongrie, en République tchèque et en Slovaquie.
Ce sont des développements d’importance capitale. Pendant 15 ans, l’Europe centrale s’est
comportée comme un élève modèle du processus de démocratisation. Actuellement, selon l’ancien Président tchèque Václav Havel, la région pourrait se retrouver bloquée dans une « atmosphère suffocante ». Même le propre successeur de Havel, Václav Klaus,