ATHENES – Avant le deuxième tour de l'élection présidentielle française, DiEM25 (le mouvement paneuropéen des démocrates, la plupart du temps de la gauche, que j'ai aidé à fonder) a promis à Emmanuel Macron de se « mobiliser pleinement pour l’aider » à vaincre Marine Le Pen. C’est ce que nous avons fait – générant la colère de beaucoup de monde à gauche – parce que maintenir « une distance égale entre Macron et Le Pen » était, selon nous, « inexcusable ».
Néanmoins, notre promesse à Macron comprenait un deuxième volet : s'il ne fait que « devenir un autre fonctionnaire du profond establishment européen », poursuivant l’impasse du néo-libéralisme qui a fait la preuve de son échec, nous « lui opposerons une résistance tout aussi énergique que celle opposée – ou qui devrait être opposée – face à Le Pen aujourd’hui ».
Soulagés que Macron ait gagné, et fiers de notre soutien clair de sa candidature, il faut maintenant remplir la deuxième partie de la promesse. Pas de « lune de miel »: nous devons nous opposer à Macron immédiatement. Voici pourquoi.
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In an era of geopolitical rebalancing, Europe needs a more cohesive stance in international forums, together with stronger strategic partnerships, to enhance its global influence. Spain can contribute to these goals when it assumes the presidency of the Council of the EU next month – if domestic politics do not get in the way.
worries that a snap election will undermine the effectiveness of the country’s Council of the EU presidency.
In April, the European Commission released an updated proposal for reforming the Stability and Growth Pact that includes more rigid debt “safeguards.” But the changes defeat the entire purpose of devising a new framework for member states’ fiscal policies.
shows why the European Commission’s latest proposal, in contrast to its predecessor, solves nothing.
ATHENES – Avant le deuxième tour de l'élection présidentielle française, DiEM25 (le mouvement paneuropéen des démocrates, la plupart du temps de la gauche, que j'ai aidé à fonder) a promis à Emmanuel Macron de se « mobiliser pleinement pour l’aider » à vaincre Marine Le Pen. C’est ce que nous avons fait – générant la colère de beaucoup de monde à gauche – parce que maintenir « une distance égale entre Macron et Le Pen » était, selon nous, « inexcusable ».
Néanmoins, notre promesse à Macron comprenait un deuxième volet : s'il ne fait que « devenir un autre fonctionnaire du profond establishment européen », poursuivant l’impasse du néo-libéralisme qui a fait la preuve de son échec, nous « lui opposerons une résistance tout aussi énergique que celle opposée – ou qui devrait être opposée – face à Le Pen aujourd’hui ».
Soulagés que Macron ait gagné, et fiers de notre soutien clair de sa candidature, il faut maintenant remplir la deuxième partie de la promesse. Pas de « lune de miel »: nous devons nous opposer à Macron immédiatement. Voici pourquoi.
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