CAMBRIDGE – Après une longue période d'absence durant laquelle les responsables politiques s'inquiétaient plutôt du risque de déflation, la menace inflationniste pèse à nouveau sur le monde et le vieux débat sur la manière de restaurer la stabilité des prix fait à nouveau surface.
Les gouvernements doivent-ils resserrer leur politique monétaire et budgétaire en diminuant les dépenses et en augmentant les taux d'intérêt (la stratégie classique pour faire face à l'inflation ou aller dans la direction opposée en baissant les taux d'intérêt, suivant ainsi le chemin de la banque centrale turque sous la direction du président Erdogan ? Ou peut-être devraient-ils intervenir directement en contrôlant les prix et en limitant la marge de manœuvre des grandes entreprises en la matière comme le proposent certains économistes et historiens aux USA ?
Si vous optez instinctivement pour l'une de ces mesures tout en rejetant les autres, pensez-y à deux fois. En économie toutes les situations sont différentes, et chacune appelle à une politique différente. La seule réponse que l'on puisse apporter à la question de ce qu'il faut faire en économie est "Ça dépend".
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Without international support, including investment at scale, African countries will not be able to expand energy access to all and still reach their climate goals. The alternative – an increased reliance on coal – would have devastating consequences.
urge the international community to step up its support for the continent’s green transition.
Although the International Monetary Fund’s newly revised policy framework on capital controls makes some improvements on what came before, it is still likely to do more harm than good. Real-world experience and advances in economic theory have shown that the IMF’s suspicions about such policies are misplaced.
thinks the Fund’s revised policy framework is better than the previous one, but still flawed.
CAMBRIDGE – Après une longue période d'absence durant laquelle les responsables politiques s'inquiétaient plutôt du risque de déflation, la menace inflationniste pèse à nouveau sur le monde et le vieux débat sur la manière de restaurer la stabilité des prix fait à nouveau surface.
Les gouvernements doivent-ils resserrer leur politique monétaire et budgétaire en diminuant les dépenses et en augmentant les taux d'intérêt (la stratégie classique pour faire face à l'inflation ou aller dans la direction opposée en baissant les taux d'intérêt, suivant ainsi le chemin de la banque centrale turque sous la direction du président Erdogan ? Ou peut-être devraient-ils intervenir directement en contrôlant les prix et en limitant la marge de manœuvre des grandes entreprises en la matière comme le proposent certains économistes et historiens aux USA ?
Si vous optez instinctivement pour l'une de ces mesures tout en rejetant les autres, pensez-y à deux fois. En économie toutes les situations sont différentes, et chacune appelle à une politique différente. La seule réponse que l'on puisse apporter à la question de ce qu'il faut faire en économie est "Ça dépend".
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