MOUNTAIN VIEW (CALIF.) – Voici quelques années, je suis allé à Lagos afin d’y voir à l’œuvre les programmes de formation numérique d’Alphabet. L’enthousiasme que suscitait l’avenir de la technologie en Afrique, avec les nombreux emplois et opportunités qu’elle pouvait y apporter, était palpable. Des demandeurs d’emploi cherchant à acquérir de nouvelles compétences aux entrepreneurs qui mettaient au point des applications prometteuses et lançaient de nouvelles sociétés, je rencontrais toutes sortes de gens extrêmement stimulants.
Et je pensais encore à ces rencontres quand je me suis adressé cette semaine aux dirigeants de l’Union africaine lors du cinquième Forum des entreprises africaines 2022. Si les défis que doit relever le continent sont nombreux et conséquents, de l’actuelle pandémie aux difficultés de la reprise économique, les raisons de se montrer optimiste, aux côtés des ingénieurs, des développeurs et des entrepreneurs africains, ne manquent pas non plus.
De plus en plus d’innovations voient le jour en Afrique. L’an dernier, les tours de tables pour les start-up de la tech africaine ont été plus nombreux que jamais auparavant. Les moyens de paiement mobile, d’abord mis au point au Kenya, sont désormais utilisés partout dans le monde. Des solutions de production d’énergie renouvelable imaginées en Afrique sont en train de dessiner pour nous tous un avenir plus durable. Et grâce à Internet, les entreprises africaines peuvent toucher tous les marchés de la planète, tout en fournissant à l’Afrique elle-même des clés pour résoudre les problèmes les plus urgents.
MOUNTAIN VIEW (CALIF.) – Voici quelques années, je suis allé à Lagos afin d’y voir à l’œuvre les programmes de formation numérique d’Alphabet. L’enthousiasme que suscitait l’avenir de la technologie en Afrique, avec les nombreux emplois et opportunités qu’elle pouvait y apporter, était palpable. Des demandeurs d’emploi cherchant à acquérir de nouvelles compétences aux entrepreneurs qui mettaient au point des applications prometteuses et lançaient de nouvelles sociétés, je rencontrais toutes sortes de gens extrêmement stimulants.
Et je pensais encore à ces rencontres quand je me suis adressé cette semaine aux dirigeants de l’Union africaine lors du cinquième Forum des entreprises africaines 2022. Si les défis que doit relever le continent sont nombreux et conséquents, de l’actuelle pandémie aux difficultés de la reprise économique, les raisons de se montrer optimiste, aux côtés des ingénieurs, des développeurs et des entrepreneurs africains, ne manquent pas non plus.
De plus en plus d’innovations voient le jour en Afrique. L’an dernier, les tours de tables pour les start-up de la tech africaine ont été plus nombreux que jamais auparavant. Les moyens de paiement mobile, d’abord mis au point au Kenya, sont désormais utilisés partout dans le monde. Des solutions de production d’énergie renouvelable imaginées en Afrique sont en train de dessiner pour nous tous un avenir plus durable. Et grâce à Internet, les entreprises africaines peuvent toucher tous les marchés de la planète, tout en fournissant à l’Afrique elle-même des clés pour résoudre les problèmes les plus urgents.