Months of high inflation, both in the United States and globally, have fueled intense debates about both root causes and potential solutions. Here, Jason Furman of Harvard University and James K. Galbraith of the University of Texas, Austin, offer opposing perspectives on what has become the year’s biggest economic-policy challenge.
Le départ de Horst Köhler de la direction du FMI pour participer à l'élection présidentielle en Allemagne nous donne l'occasion de réfléchir un instant, aussi bien sur le Fonds que sur l'état de l'économie.
À la veille de l'arrivée de Köhler au poste de direction, l'économie mondiale traversait une crise financière comme elle n'en avait pas connu depuis les années 1930. Le FMI ne bénéficiait plus que d'une confiance très réduite : ayant mal géré la crise de l'Asie du Sud-Est, la crise russe et la crise brésilienne, un nuage planait au-dessus de la tête de son prédécesseur. L'élection de Köhler fut elle-même empoisonnée par certaines controverses.
Évidemment, pour choisir son directeur, une institution publique internationale devrait rechercher la personne la plus qualifiée, et ce choix devrait être fait de la manière la plus transparente possible. Les principes de la responsabilité démocratique que le FMI représente avec enthousiasme dans les pays en développement l'exigent. Pourtant, un accord passé finalement entre l'Amérique et l'Europe posa comme principe que le dirigeant du FMI serait un Européen.
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