PRAGUE – L’un des piliers du marché unique de l’Union Européenne est l’harmonisation. A première vue, c’est tout à fait logique. Il est plus facile pour le capital et le travail de trouver leur meilleur usage dans des systèmes harmonisés.
Hélas ! Le zèle unificateur de certains Europhiles a trop souvent dépassé les limites de la raison économique, et même du bon sens. Plus d’unification et d’harmonisation n’impliquent pas forcément plus de solutions efficaces – ou même raisonnables – aux problèmes de l’Union Européenne.
Le principal point des nouvelles mesures règlementaires européennes actuellement à l’étude (à l’exception des soi-disant nouvelles règles du Bâle III) est d’apporter plus de stabilité au système financier. L’effet indirect sera de réduire la taille du secteur financier – en termes absolus et relativement à l’économie – et d’entraver sa croissance à l’avenir.
PRAGUE – L’un des piliers du marché unique de l’Union Européenne est l’harmonisation. A première vue, c’est tout à fait logique. Il est plus facile pour le capital et le travail de trouver leur meilleur usage dans des systèmes harmonisés.
Hélas ! Le zèle unificateur de certains Europhiles a trop souvent dépassé les limites de la raison économique, et même du bon sens. Plus d’unification et d’harmonisation n’impliquent pas forcément plus de solutions efficaces – ou même raisonnables – aux problèmes de l’Union Européenne.
Le principal point des nouvelles mesures règlementaires européennes actuellement à l’étude (à l’exception des soi-disant nouvelles règles du Bâle III) est d’apporter plus de stabilité au système financier. L’effet indirect sera de réduire la taille du secteur financier – en termes absolus et relativement à l’économie – et d’entraver sa croissance à l’avenir.