NEW HAVEN – Malgré toutes les inquiétudes suscitées par le fameux ralentissement économique de la Chine, cette dernière reste le principal artisan de la croissance du PIB mondial. Sa contribution est d'autant plus importante que l'économie mondiale tourne au ralenti et ne pourra probablement pas résister à une crise d'envergure sans verser dans une nouvelle récession.
Quelques chiffres pour illustrer cette situation. Si la croissance du PIB de la Chine atteint l'objectif officiel de 6,7% cette année - ce qui est légèrement supérieure à la dernière prévision du FMI de 6,6% - elle comptera pour prés de 39% de la croissance mondiale (soit 1,2 points de pourcentage de la croissance du PIB mondial qui devrait s'élever à seulement 3,1% cette année selon la prévision actuelle du FMI).
En comparaison, la contribution des autres grands pays est minime. Ainsi la croissance du PIB des USA dont on vante la reprise devrait atteindre à peine 2,2% cette année - une contribution de seulement 0,3 points de pourcentage à la croissance du PIB mondial - soit environ le quart de la contribution chinoise.
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While carbon pricing and industrial policies may have enabled policymakers in the United States and Europe to avoid difficult political choices, we cannot rely on these tools to achieve crucial climate goals. Climate policies must move away from focusing on green taxes and subsidies and enter the age of politics.
explains why achieving climate goals requires a broader combination of sector-specific policy instruments.
The long-standing economic consensus that interest rates would remain low indefinitely, making debt cost-free, is no longer tenable. Even if inflation declines, soaring debt levels, deglobalization, and populist pressures will keep rates higher for the next decade than they were in the decade following the 2008 financial crisis.
thinks that policymakers and economists must reassess their beliefs in light of current market realities.
NEW HAVEN – Malgré toutes les inquiétudes suscitées par le fameux ralentissement économique de la Chine, cette dernière reste le principal artisan de la croissance du PIB mondial. Sa contribution est d'autant plus importante que l'économie mondiale tourne au ralenti et ne pourra probablement pas résister à une crise d'envergure sans verser dans une nouvelle récession.
Quelques chiffres pour illustrer cette situation. Si la croissance du PIB de la Chine atteint l'objectif officiel de 6,7% cette année - ce qui est légèrement supérieure à la dernière prévision du FMI de 6,6% - elle comptera pour prés de 39% de la croissance mondiale (soit 1,2 points de pourcentage de la croissance du PIB mondial qui devrait s'élever à seulement 3,1% cette année selon la prévision actuelle du FMI).
En comparaison, la contribution des autres grands pays est minime. Ainsi la croissance du PIB des USA dont on vante la reprise devrait atteindre à peine 2,2% cette année - une contribution de seulement 0,3 points de pourcentage à la croissance du PIB mondial - soit environ le quart de la contribution chinoise.
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