NEW YORK – Tentant de comprendre la signification pleine et entière de la Révolution Tunisienne et d’envisager son avenir, mes yeux parcourent mon bureau où se trouvent étalés deux numéros du New York Times présentant chacun en première page un article à propos de la Tunisie. 23 années séparent la publication de ces deux articles.
Le premier, un peu jauni et froissé, est daté du 7 novembre 1987. L’article sous le gros titre, « Coup d’état en Tunisie », relate la chute de Habib Bourguiba, le fondateur vieillissant de la Tunisie moderne et héro de son indépendance. Il fut renversé au milieu de la nuit et sans effusion de sang par son Premier ministre, Zine el Abidine Ben Ali.
Des dizaines de milliers de Tunisiens se regroupèrent au centre de Tunis dans les jours qui suivirent pour célébrer leur délivrance d’années d’apathie et d’incertitudes résultant de la sénilité aggravée de Bourguiba. Le nouveau président Ben Ali fut considéré par la plupart comme un héro dans les premières années de son règne, à juste titre.
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While carbon pricing and industrial policies may have enabled policymakers in the United States and Europe to avoid difficult political choices, we cannot rely on these tools to achieve crucial climate goals. Climate policies must move away from focusing on green taxes and subsidies and enter the age of politics.
explains why achieving climate goals requires a broader combination of sector-specific policy instruments.
The long-standing economic consensus that interest rates would remain low indefinitely, making debt cost-free, is no longer tenable. Even if inflation declines, soaring debt levels, deglobalization, and populist pressures will keep rates higher for the next decade than they were in the decade following the 2008 financial crisis.
thinks that policymakers and economists must reassess their beliefs in light of current market realities.
NEW YORK – Tentant de comprendre la signification pleine et entière de la Révolution Tunisienne et d’envisager son avenir, mes yeux parcourent mon bureau où se trouvent étalés deux numéros du New York Times présentant chacun en première page un article à propos de la Tunisie. 23 années séparent la publication de ces deux articles.
Le premier, un peu jauni et froissé, est daté du 7 novembre 1987. L’article sous le gros titre, « Coup d’état en Tunisie », relate la chute de Habib Bourguiba, le fondateur vieillissant de la Tunisie moderne et héro de son indépendance. Il fut renversé au milieu de la nuit et sans effusion de sang par son Premier ministre, Zine el Abidine Ben Ali.
Des dizaines de milliers de Tunisiens se regroupèrent au centre de Tunis dans les jours qui suivirent pour célébrer leur délivrance d’années d’apathie et d’incertitudes résultant de la sénilité aggravée de Bourguiba. Le nouveau président Ben Ali fut considéré par la plupart comme un héro dans les premières années de son règne, à juste titre.
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