PRINCETON – Jusqu’à présent, le scandale Volkswagen s’est déroulé selon un scénario éprouvé. Des révélations concernant le comportement délictueux d’une entreprise surgissent (dans ce cas-ci, l’utilisation par le constructeur automobile allemand d’un logiciel permettant de réduire les émissions de gaz polluant de 11 millions de véhicules diesel, mais uniquement lorsque la voiture était soumise aux conditions spécifiques des tests de l’administration américaine). Les dirigeants s’excusent. Certains perdent leur emploi. Leurs successeurs s’engagent à corriger la culture d’entreprise. Les gouvernements s’apprêtent à imposer des amendes énormes. La vie poursuit son cours.
Ce scénario est devenu familier, en particulier depuis la crise financière de 2008. Les banques et autres institutions financières l’ont suivi à de multiples reprises, alors même que les scandales successifs érodaient la confiance dans l’ensemble de l’industrie. Ces affaires, comme la fraude du « diesel propre » de Volkswagen, sont l’occasion de repenser les pratiques douteuses des entreprises.
L’engagement pris par les entreprises à se comporter de manière plus responsable est clairement insuffisant, comme le démontre le nombre apparemment infini de scandales secouant l’industrie financière. A peine les législateurs avaient-ils réglé une affaire de manipulation des marchés qu’une autre surgissait.
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Since the 1990s, Western companies have invested a fortune in the Chinese economy, and tens of thousands of Chinese students have studied in US and European universities or worked in Western companies. None of this made China more democratic, and now it is heading toward an economic showdown with the US.
argue that the strategy of economic engagement has failed to mitigate the Chinese regime’s behavior.
While Chicago School orthodoxy says that humans can’t beat markets, behavioral economists insist that it’s humans who make markets, which means that humans can strive to improve their functioning. Which claim you believe has important implications for both economic theory and financial regulation.
uses Nobel laureate Robert J. Shiller’s work to buttress the case for a behavioral approach to economics.
PRINCETON – Jusqu’à présent, le scandale Volkswagen s’est déroulé selon un scénario éprouvé. Des révélations concernant le comportement délictueux d’une entreprise surgissent (dans ce cas-ci, l’utilisation par le constructeur automobile allemand d’un logiciel permettant de réduire les émissions de gaz polluant de 11 millions de véhicules diesel, mais uniquement lorsque la voiture était soumise aux conditions spécifiques des tests de l’administration américaine). Les dirigeants s’excusent. Certains perdent leur emploi. Leurs successeurs s’engagent à corriger la culture d’entreprise. Les gouvernements s’apprêtent à imposer des amendes énormes. La vie poursuit son cours.
Ce scénario est devenu familier, en particulier depuis la crise financière de 2008. Les banques et autres institutions financières l’ont suivi à de multiples reprises, alors même que les scandales successifs érodaient la confiance dans l’ensemble de l’industrie. Ces affaires, comme la fraude du « diesel propre » de Volkswagen, sont l’occasion de repenser les pratiques douteuses des entreprises.
L’engagement pris par les entreprises à se comporter de manière plus responsable est clairement insuffisant, comme le démontre le nombre apparemment infini de scandales secouant l’industrie financière. A peine les législateurs avaient-ils réglé une affaire de manipulation des marchés qu’une autre surgissait.
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