La présence de gardes-frontières à l'air mauvais et l'instauration de mesures de sécurité strictes dans les aéroports internationaux montrent que le monde développé dépense des centaines de millions de dollars pour se protéger du terrorisme. Mais le jeu en vaut-il la chandelle ?
Les citoyens des pays riches considèrent le terrorisme international comme l'une des plus grandes menaces qui pèse sur la planète, alors qu'il ne fait en moyenne que 420 victimes dans le monde chaque année. On peut se demander si les terroristes n'ont pas réussi à faire que le monde développé investisse à fond perdu dans le contre-terrorisme, tout en ignorant des problèmes urgents portant sur des questions de santé, d'environnement, de conflit ou de gouvernance ?
Récemment, le Consensus de Copenhague - il a pour objectif d'évaluer coûts et bénéfices des différentes solutions aux principaux problèmes de la planète - a commandé une nouvelle étude sur les mérites respectifs des différentes méthodes de lutte contre le terrorisme. Le résultat est à la fois surprenant et troublant.
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Rather than seeing themselves as the arbiters of divine precepts, Supreme Court justices after World War II generally understood that constitutional jurisprudence must respond to the realities of the day. Yet today's conservatives have seized on the legacy of one of the few justices who did not.
considers the complicated legacy of a progressive jurist whom conservatives now champion.
In October 2022, Chileans elected a far-left constitutional convention which produced a text so bizarrely radical that nearly two-thirds of voters rejected it. Now Chileans have elected a new Constitutional Council and put a far-right party in the driver’s seat.
blames Chilean President Gabriel Boric for the rapid rise of the authoritarian populist José Antonio Kast.
La présence de gardes-frontières à l'air mauvais et l'instauration de mesures de sécurité strictes dans les aéroports internationaux montrent que le monde développé dépense des centaines de millions de dollars pour se protéger du terrorisme. Mais le jeu en vaut-il la chandelle ?
Les citoyens des pays riches considèrent le terrorisme international comme l'une des plus grandes menaces qui pèse sur la planète, alors qu'il ne fait en moyenne que 420 victimes dans le monde chaque année. On peut se demander si les terroristes n'ont pas réussi à faire que le monde développé investisse à fond perdu dans le contre-terrorisme, tout en ignorant des problèmes urgents portant sur des questions de santé, d'environnement, de conflit ou de gouvernance ?
Récemment, le Consensus de Copenhague - il a pour objectif d'évaluer coûts et bénéfices des différentes solutions aux principaux problèmes de la planète - a commandé une nouvelle étude sur les mérites respectifs des différentes méthodes de lutte contre le terrorisme. Le résultat est à la fois surprenant et troublant.
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