OXFORD – Les dirigeants de la planète qui étaient réunis voici peu à l’occasion du Sommet pour un nouveau pacte financier mondial ont fait vœu de mobiliser des ressources pour soutenir les pays en développement aux prises avec les crises de la dette et de donner aux pays du Sud une place plus grande dans la gouvernance mondiale. Les objectifs affichés sont certes louables, mais bien souvent, il ne sort guère de ces grands sommets que des photographies de groupe et de vains serments.
Malgré cela, le sommet de Paris est important car il a dessiné les contours d’une série de réunions au plus haut niveau, qui se tiendront en septembre : celle du G20 à New Delhi, de Finances en commun en Colombie, et enfin le sommet des Objectifs de développement durable des Nations unies, à New York.
L’efficacité de ces sommets, compte tenu de ce qui est en jeu, devient de plus en plus cruciale. L’augmentation de l’extrême pauvreté au cours des trois dernières années ainsi que la fréquence toujours plus grande à laquelle surviennent les catastrophes naturelles et humanitaires, dont beaucoup sont causées par les changements climatiques, soulignent le besoin de résilience des pays.
To continue reading, register now.
Subscribe now for unlimited access to everything PS has to offer.
Rather than reducing concentrated market power through “disruption” or “creative destruction,” technological innovation historically has only added to the problem, by awarding monopolies to just one or a few dominant firms. And market forces offer no remedy to the problem; only public policy can provide that.
shows that technological change leads not to disruption, but to deeper, more enduring forms of market power.
The passing of America’s preeminent foreign-policy thinker and practitioner marks the end of an era. Throughout his long and extraordinarily influential career, Henry Kissinger built a legacy that Americans would be wise to heed in this new era of great-power politics and global disarray.
reviews the life and career of America’s preeminent foreign-policy scholar-practitioner.
Log in/Register
Please log in or register to continue. Registration is free and requires only your email address.
OXFORD – Les dirigeants de la planète qui étaient réunis voici peu à l’occasion du Sommet pour un nouveau pacte financier mondial ont fait vœu de mobiliser des ressources pour soutenir les pays en développement aux prises avec les crises de la dette et de donner aux pays du Sud une place plus grande dans la gouvernance mondiale. Les objectifs affichés sont certes louables, mais bien souvent, il ne sort guère de ces grands sommets que des photographies de groupe et de vains serments.
Malgré cela, le sommet de Paris est important car il a dessiné les contours d’une série de réunions au plus haut niveau, qui se tiendront en septembre : celle du G20 à New Delhi, de Finances en commun en Colombie, et enfin le sommet des Objectifs de développement durable des Nations unies, à New York.
L’efficacité de ces sommets, compte tenu de ce qui est en jeu, devient de plus en plus cruciale. L’augmentation de l’extrême pauvreté au cours des trois dernières années ainsi que la fréquence toujours plus grande à laquelle surviennent les catastrophes naturelles et humanitaires, dont beaucoup sont causées par les changements climatiques, soulignent le besoin de résilience des pays.
To continue reading, register now.
Subscribe now for unlimited access to everything PS has to offer.
Subscribe
As a registered user, you can enjoy more PS content every month – for free.
Register
Already have an account? Log in