Though Polish voters in October ousted their right-wing populist government, recent elections in Slovakia and the Netherlands show that populism remains as malign and potent a political force as ever in Europe. But these outcomes also hold important lessons for the United States, where the specter of Donald Trump’s return to the White House haunts the runup to the 2024 presidential election.
WASHINGTON – La reconduction du mandat de Ben Bernanke à la tête de la Réserve fédérale américaine par le président Obama est une décision raisonnable et pragmatique, mais il n'y a pas lieu de s'en réjouir outre mesure. Néanmoins, c'est l'occasion de réfléchir sur l'idéologie et le rôle des groupes de réflexion constitués d'économistes, dont Bernanke lui-même, dans la crise mondiale.
Le maintien de Bernanke à son poste est judicieux pour deux raisons. La première est liée au fait que les USA et les autres pays sont encore en récession. Même si la crise est derrière nous dans la mesure où l'on a échappé à un effondrement général, l'économie reste fragile. De ce point de vue, il vaut mieux éviter d'ébranler la confiance, ce qui pourrait nous replonger en pleine crise.
La deuxième raison est que Bernanke est le meilleur parmi ses pairs. Lorsqu'il a fini par comprendre la nature et la sévérité de la crise, il a pris des mesures décisives qui ont contribué à arrêter l'effondrement de l'économie. Ce bilan, ajouté aux doutes quant à ce que ses pairs auraient fait à sa place, laisse à penser qu'il valait mieux le choisir lui plutôt qu'un autre.
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