CAMBRIDGE – A l’heure où le monde se précipite dans le marasme, les critiques de la profession d’économiste soulèvent des questions sur leur rôle dans la crise actuelle. A juste titre�: les économistes ont à répondre de nombreux dysfonctionnements.
Ce sont les économistes qui ont légitimé et popularisé l’idée selon laquelle la finance sans entraves était une aubaine pour la société. Ils ont parlé d’une voix quasi-unanime lorsqu’il s’est agit des “dangers de la sur-régulation des gouvernements.” Leur expertise technique - ou ce qui paraissait l’être à l’époque –�leur accordait une position privilégiée de leaders d’opinion, ainsi qu’un accès aux coulisses du pouvoir.
Très peu d’entre eux (les exceptions notables comprennent Nouriel Roubini et Robert Shiller) ont tiré la sonnette d’alarme au sujet de la crise à venir. Pire encore sans doute, la profession a échoué à fournir des outils utiles à l’économie mondiale pour se sortir de la pagaille actuelle. Sur l’incitation fiscale keynésienne, le point de vue des économistes varie de “absolument essentielle” à “inefficace et dangereuse.”
To continue reading, register now.
Subscribe now for unlimited access to everything PS has to offer.
Despite an increasingly challenging economic and geopolitical environment, the global economy performed better than expected over the past year. But although analysts’ projections for 2023 were too pessimistic, it appears that consensus forecasts for the coming year may have have swung too far in the opposite direction.
worries that domestic political divisions and market volatility could exacerbate financial vulnerabilities.
If COP28 is to be judged a success, the UAE, as the summit’s host, and other hydrocarbon producers should promise to dedicate some of the windfall oil and gas profits they earned last year to accelerating the green transition in the Global South. Doing so could encourage historic and current emitters to pay their fair share.
urges oil-exporting countries to kickstart a program of green investment in the Global South at COP28.
CAMBRIDGE – A l’heure où le monde se précipite dans le marasme, les critiques de la profession d’économiste soulèvent des questions sur leur rôle dans la crise actuelle. A juste titre�: les économistes ont à répondre de nombreux dysfonctionnements.
Ce sont les économistes qui ont légitimé et popularisé l’idée selon laquelle la finance sans entraves était une aubaine pour la société. Ils ont parlé d’une voix quasi-unanime lorsqu’il s’est agit des “dangers de la sur-régulation des gouvernements.” Leur expertise technique - ou ce qui paraissait l’être à l’époque –�leur accordait une position privilégiée de leaders d’opinion, ainsi qu’un accès aux coulisses du pouvoir.
Très peu d’entre eux (les exceptions notables comprennent Nouriel Roubini et Robert Shiller) ont tiré la sonnette d’alarme au sujet de la crise à venir. Pire encore sans doute, la profession a échoué à fournir des outils utiles à l’économie mondiale pour se sortir de la pagaille actuelle. Sur l’incitation fiscale keynésienne, le point de vue des économistes varie de “absolument essentielle” à “inefficace et dangereuse.”
To continue reading, register now.
Subscribe now for unlimited access to everything PS has to offer.
Subscribe
As a registered user, you can enjoy more PS content every month – for free.
Register
Already have an account? Log in