Though Polish voters in October ousted their right-wing populist government, recent elections in Slovakia and the Netherlands show that populism remains as malign and potent a political force as ever in Europe. But these outcomes also hold important lessons for the United States, where the specter of Donald Trump’s return to the White House haunts the runup to the 2024 presidential election.
TOKYO – La zone euro est souvent appelée « Euroland » par les Américains (et par certains Asiatiques). Cette appellation fait écho à « Disneyland », lieu de fantaisie, et lui confère une connotation bien plus moqueuse que ne le ferait un simple surnom.
Depuis les tous premiers pas de l’euro, les sceptiques (majoritairement Américains) et les convaincus (majoritairement Européens) ont polémiqué avec acharnement à propos des conditions préliminaires économiques pour la monnaie unique, des bénéfices qu’elle pourrait apporter à ses membres et de sa faisabilité politique. Les économistes Asiatiques en faveur de l’intégration régionale en Asie ont suivi ces débats avec un certain étonnement, dans la mesure où la ligne de fracture n’est pas sur le plan de la philosophie économique comme par exemple celle qui oppose les Keynésiens et les néoclassiques ou encore les libéraux et les conservateurs, mais plutôt sur le plan d’une division géographique ou transatlantique
Les économistes américains, Martin Feldstein en tête, prétendent que les économies de la zone euro sont trop différentes, avec trop de contrastes institutionnels et de rigidités dans le marché du travail, pour former une zone optimale pour la monnaie unique. De plus, une politique monétaire commune associée à une politique budgétaire indépendante est vouée l’échec : la première contribue à augmenter le chômage dans les économies les plus faibles car le taux d’intérêt reflète les indicateurs moyens de la zone euro (avec un poids supérieur sur l’Allemagne et la France), mais maintient les coûts d’emprunt suffisamment bas pour permettre aux gouvernements des économies les plus faibles de financer une politique budgétaire dépensière.
To continue reading, register now.
Subscribe now for unlimited access to everything PS has to offer.
Subscribe
As a registered user, you can enjoy more PS content every month – for free.
Register
Already have an account? Log in