NEW YORK – Les fonds spéculatifs et les juristes de Wall Street ont transformé une obscure clause des traités internationaux en machine à faire de l’argent, aux dépens des pays les plus pauvres de la planète. La dernière extorsion, d’un montant de 5,9 milliards de dollars, a eu pour victime le gouvernement pakistanais, et profité à deux grandes compagnies minières, la Chilienne Antofagasta PLC et la Canadienne Barrick Gold Corporation.
NEW YORK – Les fonds spéculatifs et les juristes de Wall Street ont transformé une obscure clause des traités internationaux en machine à faire de l’argent, aux dépens des pays les plus pauvres de la planète. La dernière extorsion, d’un montant de 5,9 milliards de dollars, a eu pour victime le gouvernement pakistanais, et profité à deux grandes compagnies minières, la Chilienne Antofagasta PLC et la Canadienne Barrick Gold Corporation.