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来自地狱的对抗

May 10, 2019 Amin Saikal

堪培拉——前美国驻联合国大使萨曼莎·鲍尔曾称种族灭绝战争是“来自地狱的问题。”随着美国总统唐纳德·特朗普政府不断加剧与伊朗的紧张关系，世界现在必须认真思考两国爆发地狱对抗的可能性。

现在，美国和伊朗都表示不想发动战争。但一步接着一步，两国正朝着迎头相撞的方向前进。美国已大幅加强在伊朗周边的军力部署，向中东派遣美国海军亚伯拉罕·林肯号航空母舰打击小组和轰炸机特遣部队，目的是警告伊朗政权不要采取任何威胁性行动。与此同时，伊朗领导人谴责此举为心理战，并将其视为旨在将该国卷入军事冲突的一次挑衅。

自就任以来，特朗普一直不遗余力地将伊朗描绘成区域内外所有邪恶的根源——其中包括国际恐怖主义。他已经逆转了前任巴拉克·奥巴马的接触政策，并为达到3大目标像伊朗政权施加最大的压力。

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Jerome Barry May 12, 2019

Mr. Saikal is narrating the last war. The next one, as soon as the Islamic Republic wants to start it, will demonstrate another offset, this one in cost, where the U.S. cost of warfare will decline while the powers which went to school on asymmetry find themselves armed with dull arrows.
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Rachid ELAÏDI May 12, 2019

https://www.youscribe.com/BookReader/Index/3055187/?documentId=3456363

La guerre ou l'affrontement est le dernier point à réaliser. Même si la guerre est la continuité de la politique autrement.

Il ne faut pas oublier que l'Iran est en guerre des nerfs avec USA depuis la chute du Chah en 1979 ; il est donc à tenir compte de la volonté et de la capacité militaire et civile comme les kamikazes engagés pour la cause de l'Islam chiite . Par voie de conséquence, l'Iran est plus prête que jamais pour crever cette abcès avec les américains.

Il y a un point qui me semble important est le mélange des genres entre un pouvoir exécutif qui gouverne et un peuple divisé en opposition et pro-État islamique , je veux dire qu'une guerre civile est vite déclenchée comme la situation au Maroc qui ne cesse de se dégrader entre des pro-système de Makhzen et des oppositions qui veulent un autre système politique ,par exemple une première république marocaine. Donc si l'étincelle prend effet nous n'assisterons pas à une guerre classique ,une guerre des tranchés mais un coup de pousse à l'opposition à l’intérieure de la société iranienne.

Et la question des missiles iraniens qui peuvent atteindre le burg Al Arab en Emirate ou l'autre burg de bouregrgue à Rabat n'est pas là, la question mais plutôt de s'interroger sur la concentration autour de l'Iran et de Téhéran que les iraniens sont censés défendre avant toute autre contre-attaque dans les bases américaines qui encerclent l'Iran .

À l'exception d'Israël qui peut être la cible de premier plan et une valse des missiles qui détruiront les bases symboliques ,à savoir le mur de lamentation ,le knesset, le centre nucléaire dans le désert de Negev,...la précision des missiles est devenues aujourd'hui,un jeu d'enfant.

Mais il existe un autre point plus psychologique est celui de la mentalité de Trump à supposer qu'il s'agit d'un va-t-en-guerre . Or Trump cache toujours son jeu politique et la question qui s’impose qui est l'identité de celui qui pousse Trump à la guerre ? Sans doute ses conseillés tel Bolton qui a une force d'influence et qui est un pro Israël dont personne ne sait pourquoi et comme indication ce genre de conseillers travaillent avec des petits calculs, une cuisine interne et profonde.

Et le renforcement des militaires dans la régions est pour consolider les bases américaines car Trump ne fait pas confiance au régimes des mollahs qui peuvent s'aventurer facilement or la réalité est à l'opposée car Khameneï ne s'aventure pas et le régime iranien fait la séparation des variables et donc tout est calculé au moindre détail y compris l'aventurisme des kamikazes et je dirais plus Nasrallah qui est un fervent partisan de l'Iran ne peut s'aventurer en direction d'Israël qu'après le feu vert de Téhéran .

Il faut aussi souligner que si les bases américaines sont détruites et militairement possible ,vu l'arsenal des missiles que l'Iran en possède ,alors ,il y va de soi, que tous ces pays arabes tomberont comme un château de carte et cette chute favoriserait ainsi une guerre civile et une opposition plus musclée. Et tout cela n'est pas dans l’intérêt des américains donc l'affrontement n'aura pas cet ampleur mais ce qui existe une sorte de dissuasion de l'autre . D'autres analystes poussent le jalon encore plus loin et avertissent Trump de ne pas s'enliser comme cela fut autrefois avec le Vietnam .

Si Trump s'engage c'est pour sa politique intérieure , il veut un deuxième mandat et il n'y a pas mieux que la guerre à outrance. Il est rare qu'un président élu remet tout en cause la politique de son prédécesseur et c'est là où le bât blesse , quel est le jeu politique qui est toujours caché de Trump de dire la chose et son contraire de promettre et de ne pas tenir de ses propres promesses et quel est donc cette quintessence qui peut engendrer la libération des peuples arabo-musulmans surtout dans le monde arabe? Car le reste du monde est calme et vit paisiblement … il ne faut pas oublier que Biden qui se prépare à la prochaine élection américaine est pour la poursuite de la politique d'Obama et donc à son tour de remettre en cause tout ce que fait actuellement Trump y compris cette guerre supposée avec l'Iran .

Pour Trump , il s'agit d'un autre mode de fonctionnement ou de communication sur une guerre car selon d'autres conseils des lobbys juifs ,les mollahs ou les arabes sont comme des enfants gâtés qu'il faut être sévère et frapper fort pour qu'ils aient peur et d'exploiter l'Iran , une idée forte connues des colonialistes d'autrefois et qui marche ,sous conditions, encore aujourd'hui ,par exemple la politique étrangère de la France liées le plus souvent par le côté militaire , la destruction de la Libye,Syrie,Irak, Maroc, Algérie... rachid.elaidi@gmail.com
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David Morgan May 11, 2019

Trump has a very good reason to go to war, as with the Democrats pushing for his tax returns and trying to prosecute him for obstruction a president at war has a better chance of winning.
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Ted Peters May 11, 2019

The root of the problem is the Iranian fantasy that there is a deity who can feel insulted by the behavior of his or her creatures and is so impotent to react that she or he must rely on others to wreck revenge on the blasphemers. This is more dangerous than believing that the Germanic descendants of barbarian tribes were a master race.
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j. von Hettlingen May 11, 2019

As Trump and his hawkish advisers are beating war drums for Iran, Amin Saikal points out how the Islamic Republic could make any US military assault – with or without Israeli and Saudi Arabian backing – very “costly” for America and the region, even though it – militarily – can not stand up to American firepower.
The international community is blaming Trump for aggravating tension over Iran’s nuclear issue, despite Tehran's strict implementation of the 2015 nuclear deal, which he withdrew from a year ago. By imposing more sanctions, he is forcing Tehran to accept far more stringent controls on its nuclear activity than those negotiated under the Obama administration. This has scuttled promised international business deals and dealt a heavy blow to Iran’s already anemic ecoomy. In the time since, he has threatened any country that imports Iranian crude oil with US sanctions.
On May 6, the US deployed the USS Abraham Lincoln, an aircraft carrier, and a bomber task force to the Gulf in response to a “troubling and escalatory indications” of Iranian activity in the region, according to the White House. As Iran and the US have moved a step closer to a military confrontation, the risk that a conflict – “triggered either intentionally or by miscalculation” – can break out, is high.
On May 8, Iran has suspended commitments under the 2015 nuclear deal it signed with world powers, a year after it was abandoned by Trump. President Hassan Rouhani said he would keep the excess of uranium stocks in the country rather than selling them abroad. He also threatened to resume higher enrichment of uranium in 60 days, if other signatories did not act to protect Iran from US sanctions and negotiate new terms for the 2015 deal.
Ratcheting up pressure on Iran seeks to achieve three objectives – Trump and his hawks, John Bolton and Mike Pompeo, want to bring about regime change, or a change in Iran’s behaviour. They also seek to weaken Iran’s economy so that the country can no longer be an influential regional player. Moreover they want to turn Israel into America’s most loyal and powerful ally in the Middle East, helping forge close strategic ties between Israel and the Saudi-led coalition of Gulf states and Egypt.
The author highlights Iran’s capabilities to retaliate, should the US start a war. Even if the Americans can prevent Iran from blocking the Strait of Hormuz, through which some 30% of the world’s oil is shipped, Iranians may be able to sink a few ships at the Strait’s narrowest point – which is 3.2 kilometers wide – in an effort to choke it off.
Besides, Iran is a seasoned player in “asymmetric-warfare strategy based on both hard and soft power.” Although Iran lacks a modern air force, it has made significant progress in developing and producing short-, medium- and long-range missiles, which have the capacity to reach Israel.
Hitting Burj Khalifa in Dubai – the world’s tallest building ‒ would trigger a financial meltdown across the region. Even if Iran’s missile accuracy is not outstanding, many of them could still evade defence systems. Israel’s Iron Dome anti-missile defences have not been able to fend off all the primitive missiles launched from Gaza.
Iran has built a network of proxy forces across the region. Syria and Iraq have become crucial links in an Iran-led “strategic arc” stretching from Afghanistan to Lebanon. Tehran is in charge of proxy forces among Afghanistan’s Shia population, Iraqi Shia militias, and Hezbollah, which emerged from its 2006 war with Israel stronger than before, controls southern Lebanon and has thousands of rockets ready to target Israel. Indeed,
Not to forget the thousands of “extremely dedicated” suicide bombers the regime has groomed, for the cause of Shia Islam and nationalism. They are “embedded” within the security forces at home, and across the region. Tehran has worked hard to strengthen its national security within a supportive regional framework.
In a conflict with the US, Iran would not be a “pushover.” Any major military assault could result in an “uncontrollable regional inferno.” Both sides have good reason not to start a war. Before Trump withdrew from the JCPOA, ordinay Iranians were pro-American. Not any more today.
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Peter McLoughlin May 10, 2019

A regional inferno could become a global inferno. If the US objective is regime change, and if there is a possibility of that happening it would very hard for Russia, and China, to remain aloof. They have too many core interests in Central Asia. The conflict could not be confined to the borders of Iran. Added, there is the international instability pushing humanity towards world war, which appears to be the perpetual cycle of history.
https://www.ghostsofhistory.wordpress.com/
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