ISTANBUL – Le conflit au Moyen-Orient menace non seulement la sécurité de plusieurs Etats, mais également leur existence pérenne. La Syrie, l'Irak, le Liban parmi d'autres sont maintenant aux prises dans des combats sectaires, qui risquent de se fragmenter en sous-Etats ethniques et de transformer une région dont la géographie politique a été élaborée il y a près d'un siècle.
En examinant la scène régionale, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdoğan a mis au point un plan audacieux pour améliorer la position régionale de la Turquie et pour prolonger sa propre domination politique nationale. Faisant face à la fin d'une auto-limitation à trois mandats de sa fonction de Premier ministre, il a l'intention de modifier la constitution turque pour introduire un système présidentiel, avec lui-même à sa tête comme étant le premier titulaire à exercer un pouvoir aussi étendu.
Le plan d'Erdoğan implique toutefois de mettre fin au conflit de 30 ans de la Turquie avec sa propre population kurde. En conséquence, le gouvernement Erdoğan a décidé de négocier avec Abdullah Öcalan, le dirigeant emprisonné du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), le mouvement de résistance armée kurde.
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After years in the political wilderness, the UK Labour Party is now far ahead in opinion polls, with sensible plans for improving the country's economic performance. But to translate promises into results, any future government will have to do something about the elephant in the room: chronic under-investment.
explains what it will take for any political party to restore hope in the country's long-term economic future.
For the US, Slovakia's general election may produce another unreliable allied government. But instead of turning a blind eye to such allies, as President Joe Biden has been doing with Poland, or confronting them with an uncompromising stance, the US should spearhead efforts to help mend flawed democracies.
reflect on the outcome of Slovakia's general election in the run-up to Poland's decisive vote.
ISTANBUL – Le conflit au Moyen-Orient menace non seulement la sécurité de plusieurs Etats, mais également leur existence pérenne. La Syrie, l'Irak, le Liban parmi d'autres sont maintenant aux prises dans des combats sectaires, qui risquent de se fragmenter en sous-Etats ethniques et de transformer une région dont la géographie politique a été élaborée il y a près d'un siècle.
En examinant la scène régionale, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdoğan a mis au point un plan audacieux pour améliorer la position régionale de la Turquie et pour prolonger sa propre domination politique nationale. Faisant face à la fin d'une auto-limitation à trois mandats de sa fonction de Premier ministre, il a l'intention de modifier la constitution turque pour introduire un système présidentiel, avec lui-même à sa tête comme étant le premier titulaire à exercer un pouvoir aussi étendu.
Le plan d'Erdoğan implique toutefois de mettre fin au conflit de 30 ans de la Turquie avec sa propre population kurde. En conséquence, le gouvernement Erdoğan a décidé de négocier avec Abdullah Öcalan, le dirigeant emprisonné du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), le mouvement de résistance armée kurde.
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