BERLIN – Ce qu’espère obtenir le président des États-Unis Donald Trump en Iran demeure un mystère. A-t-il imaginé un « meilleur » traité sur le nucléaire que celui de 2015, dont il a retiré les États-Unis ? Pense-t-il, avec ses conseillers, qu’en accumulant les exigences il parviendra à faire plier le régime, voire provoquera sa chute ? Ou bien prépare-t-il le terrain à une intervention militaire ?
Selon toute vraisemblance, ni lui ni ses conseillers n’en ont la moindre idée. Peut-être parce que rien de tout cela n’arrivera.
Certes, le retrait opéré par Trump du Plan d’action global commun (Joint Comprehensive Plan of Action – JCPoA) remplit une de ses principales promesses de campagne. Le problème, c’est que ni lui ni ses conseillers ne semblent avoir réfléchi à ce qui se passerait après.
BERLIN – Ce qu’espère obtenir le président des États-Unis Donald Trump en Iran demeure un mystère. A-t-il imaginé un « meilleur » traité sur le nucléaire que celui de 2015, dont il a retiré les États-Unis ? Pense-t-il, avec ses conseillers, qu’en accumulant les exigences il parviendra à faire plier le régime, voire provoquera sa chute ? Ou bien prépare-t-il le terrain à une intervention militaire ?
Selon toute vraisemblance, ni lui ni ses conseillers n’en ont la moindre idée. Peut-être parce que rien de tout cela n’arrivera.
Certes, le retrait opéré par Trump du Plan d’action global commun (Joint Comprehensive Plan of Action – JCPoA) remplit une de ses principales promesses de campagne. Le problème, c’est que ni lui ni ses conseillers ne semblent avoir réfléchi à ce qui se passerait après.