WASHINGTON, DC – L’économie mondiale est confrontée à un très sérieux problème : les plus grandes banques des Etats-Unis sont toujours « trop grandes pour faire faillite ». Cela signifie que si l’une ou plusieurs d’entre elles se trouvaient en difficulté, le gouvernement viendrait à leur rescousse – parce que les conséquences d'une inaction seraient simplement trop effrayantes.
L’ampleur du problème a été reconnue, non seulement par les autorités, mais également par les banquiers mêmes. Il existe en fait une quasi unanimité sur l’urgence à trouver une solution politique à cette situation. Même Jamie Dimon, l’influent Pdg de la très grande JP Morgan Chase, estime que le temps du « trop grand pour faire faillite » est révolu.
Malheureusement, la solution préconisée par l’administration Obama pour remédier à la situation – adoptée en décembre dernier par le Congrès – n’est pas une option viable.
WASHINGTON, DC – L’économie mondiale est confrontée à un très sérieux problème : les plus grandes banques des Etats-Unis sont toujours « trop grandes pour faire faillite ». Cela signifie que si l’une ou plusieurs d’entre elles se trouvaient en difficulté, le gouvernement viendrait à leur rescousse – parce que les conséquences d'une inaction seraient simplement trop effrayantes.
L’ampleur du problème a été reconnue, non seulement par les autorités, mais également par les banquiers mêmes. Il existe en fait une quasi unanimité sur l’urgence à trouver une solution politique à cette situation. Même Jamie Dimon, l’influent Pdg de la très grande JP Morgan Chase, estime que le temps du « trop grand pour faire faillite » est révolu.
Malheureusement, la solution préconisée par l’administration Obama pour remédier à la situation – adoptée en décembre dernier par le Congrès – n’est pas une option viable.