

Nearly three months after Russia launched its invasion, Western countries appear more committed than ever to Ukraine’s defense, and, in some quarters, to Russia’s defeat. We asked PS commentators what outcome the West, Russia, and Ukrainians themselves can realistically expect.
COPENHAGUE – Les forces qui se mobilisent contre le réchauffement climatique et qui luttent pour renforcer la protection de l'environnement doivent se préparer à des dommages collatéraux suite à la victoire de Donald Trump aux élections présidentielles. Si l'on en juge par la rhétorique de campagne de Trump et par certaines déclarations de ses alliés républicains, la protection de l'environnement aux États-Unis va être anéantie dans une frénésie de déréglementation et d'incitations à utiliser le pétrole, le charbon et les producteurs de gaz nationaux.
Les écologistes évaluent les dommages potentiels et élaborent des stratégies visant à éviter une attaque motivée par les forces anti-durabilité les plus extrêmes qui aient jamais siégé à Capitol Hill. La liste des victimes potentielles est longue et déprimante. Dans le pire scénario, l'Amérique va devenir beaucoup moins verte, tout en portant un coup dur à la coopération internationale.
Lors de la récente réunion de la conférence climatique (COP 22) à Marrakech, l'attention a porté sur les différentes manières dont l'administration Trump pourrait tuer l'accord climatique conclu à la COP 21 à Paris l'année dernière. La mort pourrait survenir par assassinat, si Trump décide d'annuler l'accord. Ou bien elle pourrait advenir par la famine, si les États-Unis refusent de faire ou de payer leur part. Ou bien encore l'accord pourrait être torturé à mort, si les États-Unis demandent à tous les autres d'en faire davantage.
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