WASHINGTON, DC – L'accord récemment négocié par la Chine entre l'Iran et l'Arabie saoudite pour rétablir des relations diplomatiques est le dernier signe en date selon lequel que la Chine tente e s'imposer dans l'arène de la diplomatie internationale. Certains considèrent cet accord comme une preuve supplémentaire de la puissance et de l'influence en perte de vitesse des États-Unis, ainsi que de leur fatigueau Moyen-Orient. En fait, l'accord est moins un signe de la torpeur américaine qu'un reflet de circonstances régionales uniques.
Plus fondamentalement, l'accord n'est pas la percée qu'il était censé être. L'Arabie saoudite et l'Iran sont des adversaires amers qui ont une histoire d'inimitié et de méfiance vieille d'un siècle. Il est extrêmement peu probable qu'ils deviennent soudainement des voisins amis.
Certains analystes considèrent cet accord comme un témoignage de la politique de non-ingérence de la Chine dans les affaires intérieures d'autres pays, conformément à la propre formulation de cette information dans les médias. Mais s'il est vrai que les États-Unis n'auraient jamais pu faire la médiation entre les Iraniens et les Saoudiens, étant donné qu'ils isolent l'Iran par des sanctions depuis de nombreuses années, cette réalité donne également aux Iraniens une puissante incitation à saisir chaque occasion qui se présente pour tacler l'Amérique. S'ils peuvent accentuer les références diplomatiques de la Chine et donner aux experts du grain à moudre pour dénigrer les États-Unis, ils le feront.
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The latest last-minute deal to raise the US debt limit does not solve the underlying political problem. On the contrary, with the country on track for a Biden-Trump rematch next year – a contest that Trump just might win – the truce is likely to be short-lived.
sees little reason to believe the latest last-minute deal will be anything more than a short-lived truce.
WASHINGTON, DC – L'accord récemment négocié par la Chine entre l'Iran et l'Arabie saoudite pour rétablir des relations diplomatiques est le dernier signe en date selon lequel que la Chine tente e s'imposer dans l'arène de la diplomatie internationale. Certains considèrent cet accord comme une preuve supplémentaire de la puissance et de l'influence en perte de vitesse des États-Unis, ainsi que de leur fatigueau Moyen-Orient. En fait, l'accord est moins un signe de la torpeur américaine qu'un reflet de circonstances régionales uniques.
Plus fondamentalement, l'accord n'est pas la percée qu'il était censé être. L'Arabie saoudite et l'Iran sont des adversaires amers qui ont une histoire d'inimitié et de méfiance vieille d'un siècle. Il est extrêmement peu probable qu'ils deviennent soudainement des voisins amis.
Certains analystes considèrent cet accord comme un témoignage de la politique de non-ingérence de la Chine dans les affaires intérieures d'autres pays, conformément à la propre formulation de cette information dans les médias. Mais s'il est vrai que les États-Unis n'auraient jamais pu faire la médiation entre les Iraniens et les Saoudiens, étant donné qu'ils isolent l'Iran par des sanctions depuis de nombreuses années, cette réalité donne également aux Iraniens une puissante incitation à saisir chaque occasion qui se présente pour tacler l'Amérique. S'ils peuvent accentuer les références diplomatiques de la Chine et donner aux experts du grain à moudre pour dénigrer les États-Unis, ils le feront.
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