MOSCOU – La Russie et l'Occident s'éloignent à nouveau l'un de l'autre. Ce jeu d'attraction-répulsion dure depuis des siècles. Les historiens ont recensé jusqu'à 25 cycles de ce type depuis le règne du tsar Ivan III.
Dans le passé, la Russie a déjà fait des virages à 180° dans son anti-occidentalisme virulent, souvent par simple nécessité – après que les relations aient touché le fond. Aujourd'hui au contraire, la détérioration des relations semble être animée d'un mouvement propre.
MOSCOU – La Russie et l'Occident s'éloignent à nouveau l'un de l'autre. Ce jeu d'attraction-répulsion dure depuis des siècles. Les historiens ont recensé jusqu'à 25 cycles de ce type depuis le règne du tsar Ivan III.
Dans le passé, la Russie a déjà fait des virages à 180° dans son anti-occidentalisme virulent, souvent par simple nécessité – après que les relations aient touché le fond. Aujourd'hui au contraire, la détérioration des relations semble être animée d'un mouvement propre.
Quatre éléments expliquent cette situation :