LONDRES – Du jour au lendemain, le Yémen a rejoint les rangs des pays, aux côtés de l’Afghanistan et du Pakistan, qui présentent un risque pour la sécurité mondiale. Il est de plus en plus perçu comme un État failli et potentiellement comme un nouveau pays d’accueil pour Al Qaïda.
La tentative d’attentat commise à bord d’un avion de ligne à destination de Détroit le jour de Noël par un jeune Nigérian, entraîné par Al Qaïda au Yémen, semble avoir ouvert les yeux de l’Occident sur les problèmes de ce pays. À la suite de l’attentat manqué, le président américain Barack Obama et le Premier ministre britannique Gordon Brown ont appelé à la tenue d’une conférence à Londres pour trouver des solutions aux problèmes jusqu’ici négligés du Yémen.
Mais si la conférence met trop étroitement l’accent sur la présence d’Al Qaïda au Yémen, elle fera plus de mal que de bien. Cette conférence doit davantage chercher à s’attaquer au problème plus général de la stabilité politique et sociale du Yémen.
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Rather than reducing concentrated market power through “disruption” or “creative destruction,” technological innovation historically has only added to the problem, by awarding monopolies to just one or a few dominant firms. And market forces offer no remedy to the problem; only public policy can provide that.
shows that technological change leads not to disruption, but to deeper, more enduring forms of market power.
The passing of America’s preeminent foreign-policy thinker and practitioner marks the end of an era. Throughout his long and extraordinarily influential career, Henry Kissinger built a legacy that Americans would be wise to heed in this new era of great-power politics and global disarray.
reviews the life and career of America’s preeminent foreign-policy scholar-practitioner.
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LONDRES – Du jour au lendemain, le Yémen a rejoint les rangs des pays, aux côtés de l’Afghanistan et du Pakistan, qui présentent un risque pour la sécurité mondiale. Il est de plus en plus perçu comme un État failli et potentiellement comme un nouveau pays d’accueil pour Al Qaïda.
La tentative d’attentat commise à bord d’un avion de ligne à destination de Détroit le jour de Noël par un jeune Nigérian, entraîné par Al Qaïda au Yémen, semble avoir ouvert les yeux de l’Occident sur les problèmes de ce pays. À la suite de l’attentat manqué, le président américain Barack Obama et le Premier ministre britannique Gordon Brown ont appelé à la tenue d’une conférence à Londres pour trouver des solutions aux problèmes jusqu’ici négligés du Yémen.
Mais si la conférence met trop étroitement l’accent sur la présence d’Al Qaïda au Yémen, elle fera plus de mal que de bien. Cette conférence doit davantage chercher à s’attaquer au problème plus général de la stabilité politique et sociale du Yémen.
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