Je me suis derničrement rendu ŕ Moscou aprčs cinq années d’absence. La ville, qui m’a semblé différente et étrange, m’a impressionné par son aptitude au changement. Mes journées en Russie se sont partagées entre des réunions officielles, des heures perdues dans les embouteillages et des nuits passées avec de vieux amis qui ont essayé de me montrer le meilleur de la vie nocturne de Moscou.
Lors de ma premičre soirée libre, j’ai été invité ŕ un endroit appelé Shinok. Le restaurant possédait nombre des caractéristiques propres aux restaurants ethniques de n'importe quel pays. Le kitsch, cette fois-ci ukrainien, était richement représenté par divers objets. Mais la décoration intérieure se résumait ŕ un seul ornement, un mur artificiel ŕ fenętres qui séparait une partie de l'entrée du restaurant. Derričre ce mur se trouvait un décor de cour de village.
Une véritable vache ainsi que de véritables poulets et oies peuplaient cet ersatz de cour de ferme. Par moments, une vieille femme en habit traditionnel apparaissait pour nourrir les animaux. Les visiteurs dégustant le borscht et les pirogi observaient ses efforts avec satisfaction. « Elle travaille pour le restaurant, m’a expliqué un ami. Elle nourrit les animaux et s’assoit dans la cour pour créer l’ambiance rustique. »
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The emerging breed of industrial policies, which emphasize production, fair wages, and localism, could serve as the basis for post-neoliberal economies. But to tackle the challenges of the twenty-first century and ensure a sustainable future, we need a policy framework that recognizes the value of human connection.
make the case for an economic strategy that prioritizes shared prosperity over competition.
The banking system we take for granted is unfixable. The good news is that we no longer need to rely on any private, rent-seeking, socially destabilizing network of banks, at least not the way we have so far.
shows why the current private system is unfixable – and why we don’t need to tolerate it anymore.
Je me suis derničrement rendu ŕ Moscou aprčs cinq années d’absence. La ville, qui m’a semblé différente et étrange, m’a impressionné par son aptitude au changement. Mes journées en Russie se sont partagées entre des réunions officielles, des heures perdues dans les embouteillages et des nuits passées avec de vieux amis qui ont essayé de me montrer le meilleur de la vie nocturne de Moscou.
Lors de ma premičre soirée libre, j’ai été invité ŕ un endroit appelé Shinok. Le restaurant possédait nombre des caractéristiques propres aux restaurants ethniques de n'importe quel pays. Le kitsch, cette fois-ci ukrainien, était richement représenté par divers objets. Mais la décoration intérieure se résumait ŕ un seul ornement, un mur artificiel ŕ fenętres qui séparait une partie de l'entrée du restaurant. Derričre ce mur se trouvait un décor de cour de village.
Une véritable vache ainsi que de véritables poulets et oies peuplaient cet ersatz de cour de ferme. Par moments, une vieille femme en habit traditionnel apparaissait pour nourrir les animaux. Les visiteurs dégustant le borscht et les pirogi observaient ses efforts avec satisfaction. « Elle travaille pour le restaurant, m’a expliqué un ami. Elle nourrit les animaux et s’assoit dans la cour pour créer l’ambiance rustique. »
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