JERUSALEM – Le Proche-Orient n’avait connu un tel rythme effréné de diplomatie pacifiste depuis l’effondrement des négociations de paix israélo-palestiniennes durant les derniers jours de Bill Clinton à la Maison Blanche. Un cessez-le-feu a été conclu entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza ; Israël et la Syrie ont entamé des négociations de paix ; et Israël a donné au Liban une chance de résoudre les questions qui entravent un accord bilatéral. Les négociations de paix entre Israël et l'autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas sont peut-être moins spectaculaires, en revanche, elles persistent.
Alors, le Proche-Orient est-il sur le point de parvenir à une paix durable et totale ? Pas vraiment.
Hormis les pourparlers d'Annapolis, qui semblent aller nulle part compte tenu de différends irréconciliables entre les parties sur des questions de fond, tous les autres efforts de paix sont plus tactiques que stratégiques. Pour aucun d’eux il n'existe pour l'heure de conditions de passage immédiat de la guerre à la paix ; ni les parties elles-mêmes s'attendent à ce que cela se produise.
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For decades, US policymakers have preferred piecemeal tactical actions, while the Chinese government has consistently taken a more strategic approach. This mismatch is the reason why Huawei, to the shock of sanctions-focused American officials, was able to make a processor breakthrough in its flagship smartphone.
warns that short-termism will never be enough to offset the long-term benefits of strategic thinking.
With a democratic recession underway in many countries, one now commonly hears talk of democratic “backsliding” on a global scale. But not only is that term misleading; it also breeds fatalism, diverting our attention from potential paths out of the new authoritarianism.
thinks the language commonly used to describe the shift toward authoritarianism is hampering solutions.
Ashoka Mody
explains the roots of the lack of accountability in India, highlights shortcomings in human capital and gender equality, casts doubt on the country’s ability to assume a Chinese-style role in manufacturing, and more.
JERUSALEM – Le Proche-Orient n’avait connu un tel rythme effréné de diplomatie pacifiste depuis l’effondrement des négociations de paix israélo-palestiniennes durant les derniers jours de Bill Clinton à la Maison Blanche. Un cessez-le-feu a été conclu entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza ; Israël et la Syrie ont entamé des négociations de paix ; et Israël a donné au Liban une chance de résoudre les questions qui entravent un accord bilatéral. Les négociations de paix entre Israël et l'autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas sont peut-être moins spectaculaires, en revanche, elles persistent.
Alors, le Proche-Orient est-il sur le point de parvenir à une paix durable et totale ? Pas vraiment.
Hormis les pourparlers d'Annapolis, qui semblent aller nulle part compte tenu de différends irréconciliables entre les parties sur des questions de fond, tous les autres efforts de paix sont plus tactiques que stratégiques. Pour aucun d’eux il n'existe pour l'heure de conditions de passage immédiat de la guerre à la paix ; ni les parties elles-mêmes s'attendent à ce que cela se produise.
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