COPENHAGUE – Le sommet de l’OTAN à Bucarest s’est terminé sur deux signaux de danger. Le premier était que la Russie a rétabli une « sphère d’influence » sur l’Europe, où les pays ne sont plus libres de suivre leurs propres objectifs si Moscou ne les accepte pas. L’autre est qu’un État membre de l’OTAN a la liberté d’exercer un chantage sur ses partenaires afin qu’ils soutiennent ses objectifs mesquins.
Le premier signal a été reçu lorsque l’Ukraine et la Géorgie se sont refusés leur inscription au Plan d’action en vue de l’adhésion (MAP). Plusieurs poids lourds européens, menés par l’Allemagne et la France, leur ont nié cette étape vers un élargissement futur, malgré le ferme soutien des Etats-Unis en sa faveur.
Le second signal a été reçu lorsque la Grèce a opposé son veto à l’adhésion de la Macédoine, justifié par le conflit entre les deux pays lié au nom de la Macédoine (la Grèce insiste sur le fait qu’elle doit s’appeler Ancienne république yougoslave de Macédoine – ARYM – l’un des acronymes les plus disgracieux du vocabulaire des politiques internationales actuelles).
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Since the 1990s, Western companies have invested a fortune in the Chinese economy, and tens of thousands of Chinese students have studied in US and European universities or worked in Western companies. None of this made China more democratic, and now it is heading toward an economic showdown with the US.
argue that the strategy of economic engagement has failed to mitigate the Chinese regime’s behavior.
While Chicago School orthodoxy says that humans can’t beat markets, behavioral economists insist that it’s humans who make markets, which means that humans can strive to improve their functioning. Which claim you believe has important implications for both economic theory and financial regulation.
uses Nobel laureate Robert J. Shiller’s work to buttress the case for a behavioral approach to economics.
COPENHAGUE – Le sommet de l’OTAN à Bucarest s’est terminé sur deux signaux de danger. Le premier était que la Russie a rétabli une « sphère d’influence » sur l’Europe, où les pays ne sont plus libres de suivre leurs propres objectifs si Moscou ne les accepte pas. L’autre est qu’un État membre de l’OTAN a la liberté d’exercer un chantage sur ses partenaires afin qu’ils soutiennent ses objectifs mesquins.
Le premier signal a été reçu lorsque l’Ukraine et la Géorgie se sont refusés leur inscription au Plan d’action en vue de l’adhésion (MAP). Plusieurs poids lourds européens, menés par l’Allemagne et la France, leur ont nié cette étape vers un élargissement futur, malgré le ferme soutien des Etats-Unis en sa faveur.
Le second signal a été reçu lorsque la Grèce a opposé son veto à l’adhésion de la Macédoine, justifié par le conflit entre les deux pays lié au nom de la Macédoine (la Grèce insiste sur le fait qu’elle doit s’appeler Ancienne république yougoslave de Macédoine – ARYM – l’un des acronymes les plus disgracieux du vocabulaire des politiques internationales actuelles).
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