PHNOM PENH – La première comparution d'un responsable Khmer Rouge devant le tribunal spécial crée au Cambodge pour juger les dirigeants survivants de ce mouvement pose une question test quant à l'équité de ce tribunal : peut-on remettre en liberté une personne accusée de massacres en l'attente de son procès ?
Kaing Guek Eav, plus connu sous le nom de Douch, est responsable de la mort de plus de 14 000 personnes dans la prison S-21, un ancien lycée de Phnom Penh transformé en centre de torture. Il est l'un des cinq anciens dirigeants Khmers Rouges qui auront à répondre de leurs actes durant le génocide perpétré par Pol Pot au cours duquel 1,7 millions de Cambodgiens ont péri selon les estimations qui ont pu être réalisées. Douch est le seul à être emprisonné après avoir été identifié en 1999.
Le tribunal, avec son mélange improbable de juges et de procureurs cambodgiens et étrangers, est supposé être un modèle pour une réforme judiciaire et une justice indépendante dans un pays où l'impunité est depuis longtemps la règle.
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While carbon pricing and industrial policies may have enabled policymakers in the United States and Europe to avoid difficult political choices, we cannot rely on these tools to achieve crucial climate goals. Climate policies must move away from focusing on green taxes and subsidies and enter the age of politics.
explains why achieving climate goals requires a broader combination of sector-specific policy instruments.
The long-standing economic consensus that interest rates would remain low indefinitely, making debt cost-free, is no longer tenable. Even if inflation declines, soaring debt levels, deglobalization, and populist pressures will keep rates higher for the next decade than they were in the decade following the 2008 financial crisis.
thinks that policymakers and economists must reassess their beliefs in light of current market realities.
PHNOM PENH – La première comparution d'un responsable Khmer Rouge devant le tribunal spécial crée au Cambodge pour juger les dirigeants survivants de ce mouvement pose une question test quant à l'équité de ce tribunal : peut-on remettre en liberté une personne accusée de massacres en l'attente de son procès ?
Kaing Guek Eav, plus connu sous le nom de Douch, est responsable de la mort de plus de 14 000 personnes dans la prison S-21, un ancien lycée de Phnom Penh transformé en centre de torture. Il est l'un des cinq anciens dirigeants Khmers Rouges qui auront à répondre de leurs actes durant le génocide perpétré par Pol Pot au cours duquel 1,7 millions de Cambodgiens ont péri selon les estimations qui ont pu être réalisées. Douch est le seul à être emprisonné après avoir été identifié en 1999.
Le tribunal, avec son mélange improbable de juges et de procureurs cambodgiens et étrangers, est supposé être un modèle pour une réforme judiciaire et une justice indépendante dans un pays où l'impunité est depuis longtemps la règle.
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