NEW-YORK – L'apparition d'une nouvelle technologie suscite toujours des réactions variées qui vont de l'engouement à la crainte. Il n'en reste pas moins que les débuts de l'intelligence artificielle (IA) s'accompagne de réactions hors normes. S'agit-il d'un outil qui va révolutionner la société pour le mieux, ou du mal incarné qui va détruire des emplois ? Comme toujours, la réponse n'est pas aussi catégorique.
En tant que technologie à usages multiples, l'IA sera ce que nous en ferons. Au final, ses effets vont dépendre du cadre de gouvernance que nous allons construire. Les appels à une régulation se faisant de plus en plus pressants, le moment est venu de développer une réglementation et un cadre juridique permettant de bénéficier au mieux de ses avantages et de limiter ses nuisances possibles.
Jusqu'à très récemment, la gouvernance en matière d'IA se discutait essentiellement au niveau national. Or, la plupart des pays (notamment la Chine) adoptent des stratégies visant à leur assurer un avantage concurrentiel sur les marchés internationaux. Il s'agit essentiellement de "business plans" conçus pour attirer les investissements et améliorer la compétitivité des entreprises nationales, avec en parallèle le souci d'améliorer la sécurité nationale.
Hasan Gokal, the medical director of the Harris County, Texas COVID-19 response team, refused to let a vial of vaccine expire and sought out eligible recipients before the doses would have to be discarded. For his sound ethical reasoning, he was fired and faces criminal prosecution.
examines the case of Hasan Gokal, a Texas doctor who was fired and faces prosecution for not wasting doses.
Creating an economy that works for everyone is not just a matter of empowering those who have been “left behind” by globalization. Instead, it requires a comprehensive and critical assessment of the systemic forces that are fueling inequality.
highlights the limitations of policies aimed at helping those who were “left behind” by globalization.
NEW-YORK – L'apparition d'une nouvelle technologie suscite toujours des réactions variées qui vont de l'engouement à la crainte. Il n'en reste pas moins que les débuts de l'intelligence artificielle (IA) s'accompagne de réactions hors normes. S'agit-il d'un outil qui va révolutionner la société pour le mieux, ou du mal incarné qui va détruire des emplois ? Comme toujours, la réponse n'est pas aussi catégorique.
En tant que technologie à usages multiples, l'IA sera ce que nous en ferons. Au final, ses effets vont dépendre du cadre de gouvernance que nous allons construire. Les appels à une régulation se faisant de plus en plus pressants, le moment est venu de développer une réglementation et un cadre juridique permettant de bénéficier au mieux de ses avantages et de limiter ses nuisances possibles.
Jusqu'à très récemment, la gouvernance en matière d'IA se discutait essentiellement au niveau national. Or, la plupart des pays (notamment la Chine) adoptent des stratégies visant à leur assurer un avantage concurrentiel sur les marchés internationaux. Il s'agit essentiellement de "business plans" conçus pour attirer les investissements et améliorer la compétitivité des entreprises nationales, avec en parallèle le souci d'améliorer la sécurité nationale.
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