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A lire la presse de ces dernières semaines, on pourrait croire qu'un déploiement plus large de la force multinationale de sécurité et plus de rapidité dans la distribution de d'aide suffiront à pacifier l'Afghanistan et à assurer la position de Harmid Karzaï, le président afghan. Selon ce point de vue, la carotte de l'aide internationale et le bâton de la force de sécurité devraient permettre la survie de son gouvernement.
Poussés par cette logique, les USA ont voulu accélérer l'aide - une tâche qu'ils sont à même d'accomplir, puisqu'ils ont fourni les neuf dixièmes de l'aide financière destinée à l'Afghanistan, ceci même à l'époque des Talibans. Le président Bush a annoncé récemment la création d'un fond de 180 millions de dollars destiné à reconstruire les routes du pays. Ce fond, financé par les USA, le Japon et l'Arabie Saoudite, constitue la dernière mesure en date destinée à faciliter la distribution de l'aide.
Le fonctionnement de la force multinationale de sécurité, formée principalement de Turcs, est actuellement revu et son mandat étendu à l'ensemble du pays. Quand Paul Wolfowitz, le vice-secrétaire de la Défense américain l'a annoncé, cela a constitué un revirement de la position antérieure des Etats-Unis qui voulaient confiner la force multinationale de sécurité à Kaboul, de crainte qu'elle ne constitue un obstacle lors des opérations américaines contre Al Quaida et ce qui reste des Talibans.
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