

From semiconductors to electric vehicles, governments are identifying the strategic industries of the future and intervening to support them – abandoning decades of neoliberal orthodoxy in the process. Are industrial policies the key to tackling twenty-first-century economic challenges or a recipe for market distortions and lower efficiency?
TEL AVIV – Les processus de paix sont habituellement truffés d'incertitudes, en particulier lorsque les conflits se prolongent et que les intentions, la volonté et la capacité de chaque partie à se conformer à un accord restent floues. Les coûts politiques considérables liés aux concessions faites à un ennemi mortel sapent souvent les négociations avant qu'un accord ne soit conclu.
Cela est évident dans les protocoles récemment déclassifiés de la réunion du cabinet israélien de 1993 qui a approuvé le premier accord d'Oslo avec l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP). Les dossiers révèlent que les signes d'échec ultérieurs étaient apparents dès le début.
À l'époque, le Premier Ministre israélien Yitzhak Rabin espérait que le Président de l'OLP, Yasser Arafat, pourrait endiguer la montée du Hamas et du Jihad islamique et aider à réprimer l'Intifada qui faisait rage en Cisjordanie et à Gaza depuis 1987. Mais Arafat, soucieux d'être perçu comme un « collaborateur », a refusé de devenir le sous-traitant de la sécurité d'Israël. Le fataliste ministre des Affaires étrangères de Rabin, Shimon Peres, a averti que « toute cette négociation avec l'OLP » pourrait « s'effondrer » et qu'un « Hamas semblable à celui de l'Iran » pourrait prendre sa place. Pendant ce temps, le chef d'état-major général des Forces de défense israéliennes Ehud Barak a fait remarquer que l'accord avait « plus de trous qu'un gruyère ».
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