BERLIN – Après 16 ans passés au poste de Chancelière allemande, le règne d'Angela Merkel touche à sa fin. Qu'on l'aime ou qu'on la déteste, elle laisse son empreinte sur tout une période de notre histoire. Mais les époques politiques se terminent rarement dans le calme, et les adieux de « Mutti » à la politique allemande ne font pas exception à la règle.
La campagne politique allemande commence enfin à s'animer. Les deux premières élections d'État dans une super année d'élections portent à croire que les élections fédérales du 26 septembre risquent de déboucher sur une nouvelle coalition gouvernementale, sans l'Union chrétienne-démocrate de Merkel, ni son parti frère bavarois, l'Union chrétienne-sociale.
Dans les États de Bade-Wurtemberg et de Rhénanie-Palatinat, les pertes importantes pour la CDU ont coïncidé avec des victoires tout aussi importantes pour les Verts, ainsi qu'avec une proportion stable des voix pour le Parti libéral-démocrate (FDP). Il est donc question aujourd'hui d'une possible coalition « tricolore » entre le Parti social-démocrate (rouge), le FDP (jaune) et les Verts. Tout à coup, il devient réaliste d'envisager un changement de gouvernement à Berlin.
Gordon Brown, et al.
urge the US administration to support waiving intellectual property rights in order to scale up global COVID-19 vaccination efforts.
Even in a crisis as grave as the COVID-19 pandemic, money is not a panacea, and borrowing makes sense only if it is carried out prudently and reasonably. Otherwise, states will jeopardize their long-term financial flexibility, price stability, and competitiveness.
worries that monetization of pandemic-related government borrowing will boost inflation and erode competitiveness.
BERLIN – Après 16 ans passés au poste de Chancelière allemande, le règne d'Angela Merkel touche à sa fin. Qu'on l'aime ou qu'on la déteste, elle laisse son empreinte sur tout une période de notre histoire. Mais les époques politiques se terminent rarement dans le calme, et les adieux de « Mutti » à la politique allemande ne font pas exception à la règle.
La campagne politique allemande commence enfin à s'animer. Les deux premières élections d'État dans une super année d'élections portent à croire que les élections fédérales du 26 septembre risquent de déboucher sur une nouvelle coalition gouvernementale, sans l'Union chrétienne-démocrate de Merkel, ni son parti frère bavarois, l'Union chrétienne-sociale.
Dans les États de Bade-Wurtemberg et de Rhénanie-Palatinat, les pertes importantes pour la CDU ont coïncidé avec des victoires tout aussi importantes pour les Verts, ainsi qu'avec une proportion stable des voix pour le Parti libéral-démocrate (FDP). Il est donc question aujourd'hui d'une possible coalition « tricolore » entre le Parti social-démocrate (rouge), le FDP (jaune) et les Verts. Tout à coup, il devient réaliste d'envisager un changement de gouvernement à Berlin.
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