NAIROBI – Quel sera le coût pour sauver les forêts mondiales et améliorer le sort de sept milliards d’humains ? Dans quelques jours, l’Inde accueillera à Hyderabad la Convention des Nations Unies pour la diversité biologique. Les pays réunis envisageront les moyens de lever les fonds nécessaires à l’atteinte des Objectifs d’Aichi en biodiversité, des visées ambitieuses adoptées il y a deux ans au Japon lors du dernier congrès sur le même sujet.
Les objectifs d’Aichi préconisent de réduire de moitié le taux de perte des habitats naturels de la planète, notamment les forêts, et ce, d’ici 2020. À Hyderabad, des études d’estimation des coûts de l’intensification des efforts seront présentées aux gouvernements.
Une évaluation estime qu’une somme annuelle d’environ 40 milliards $ sera nécessaire pour réduire de moitié le taux de déforestation et assurer la gestion durable des forêts dans les pays en voie de développement d’ici la date cible. Ce coût peut sembler exorbitant dans un monde où le chômage est en hausse, et où un grand nombre de pays étant encore aux prises à des crises économiques et financières, et d’autres au bord de la faillite.
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The Middle East will face its own unique set of challenges in the age of climate change, from changing rainfall patterns and water scarcity to heatwaves and wildfires. While most of the region recognizes the need for more investment to tackle these issues, closer cross-border cooperation will also be necessary.
wants to take advantage of a rare area of agreement in the region to advance green projects and investments.
Despite inadequate international support and a lack of access to COVID-19 vaccines, African governments and regional institutions have acquitted themselves well in responding to the pandemic. The task now is to build on these successes, making “health for all” an overarching whole-of-government priority.
propose a new holistic approach to designing policies, directing innovation, and investing in people.
NAIROBI – Quel sera le coût pour sauver les forêts mondiales et améliorer le sort de sept milliards d’humains ? Dans quelques jours, l’Inde accueillera à Hyderabad la Convention des Nations Unies pour la diversité biologique. Les pays réunis envisageront les moyens de lever les fonds nécessaires à l’atteinte des Objectifs d’Aichi en biodiversité, des visées ambitieuses adoptées il y a deux ans au Japon lors du dernier congrès sur le même sujet.
Les objectifs d’Aichi préconisent de réduire de moitié le taux de perte des habitats naturels de la planète, notamment les forêts, et ce, d’ici 2020. À Hyderabad, des études d’estimation des coûts de l’intensification des efforts seront présentées aux gouvernements.
Une évaluation estime qu’une somme annuelle d’environ 40 milliards $ sera nécessaire pour réduire de moitié le taux de déforestation et assurer la gestion durable des forêts dans les pays en voie de développement d’ici la date cible. Ce coût peut sembler exorbitant dans un monde où le chômage est en hausse, et où un grand nombre de pays étant encore aux prises à des crises économiques et financières, et d’autres au bord de la faillite.
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