C’était, du temps où j’écoutais de la musique, l’un des moments qui m’intriguaient le plus dans « La Passion selon saint Jean » de Bach.
Et c’est, entre chant et silence, en mode soprano triste accompagné par un sanglot de violoncelle, le souvenir qui me revient, ce matin, lendemain des législatives.
PARIS – Tout est accompli…
C’était, du temps où j’écoutais de la musique, l’un des moments qui m’intriguaient le plus dans « La Passion selon saint Jean » de Bach.
Et c’est, entre chant et silence, en mode soprano triste accompagné par un sanglot de violoncelle, le souvenir qui me revient, ce matin, lendemain des législatives.