JOHANNESBOURG/NEW YORK – La digitalisation de la finance – transformation associée à la révolution numérique et visant l’écosystème financier dans son ensemble – peut permettre une accélération des efforts mondiaux dans le financement du développement durable. D’après le McKinsey Global Institue, une plus grande utilisation des technologies financières pourrait propulser la croissance des pays en voie de développement jusqu’à 3 700 milliards $ d’ici 2025, principalement via une augmentation des gains de productivité et une plus large inclusion financière.
Mais pour que les promesses de la digitalisation soient honorées, le monde va devoir aligner plus étroitement les stratégies de financement et d’investissement avec les résultats en matière de développement durable. Le mois dernier, le secrétaire générale des Nations Unies António Guterres a mis en place un groupe de travail sur le financement du numérique afin de répondre à ce défi complexe. Nous avons l’honneur de coprésider cet effort mondial.
Pour des raisons évidentes, les financements constituent la clé pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) ainsi que les objectifs d’émissions fixés par l’accord climatique de Paris 2015. Or, bien que l’épargne mondiale soit plus que suffisante pour appuyer la transition vers le développement durable, le système financier mondial échoue jusqu’à présent à assurer son rôle d’intermédiaire entre l’offre et la demande. Les avancées modestes accomplies par certains pays dans le financement du développement durable ne sont pas à la hauteur des besoins.
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For decades, US policymakers have preferred piecemeal tactical actions, while the Chinese government has consistently taken a more strategic approach. This mismatch is the reason why Huawei, to the shock of sanctions-focused American officials, was able to make a processor breakthrough in its flagship smartphone.
warns that short-termism will never be enough to offset the long-term benefits of strategic thinking.
With a democratic recession underway in many countries, one now commonly hears talk of democratic “backsliding” on a global scale. But not only is that term misleading; it also breeds fatalism, diverting our attention from potential paths out of the new authoritarianism.
thinks the language commonly used to describe the shift toward authoritarianism is hampering solutions.
Ashoka Mody
explains the roots of the lack of accountability in India, highlights shortcomings in human capital and gender equality, casts doubt on the country’s ability to assume a Chinese-style role in manufacturing, and more.
JOHANNESBOURG/NEW YORK – La digitalisation de la finance – transformation associée à la révolution numérique et visant l’écosystème financier dans son ensemble – peut permettre une accélération des efforts mondiaux dans le financement du développement durable. D’après le McKinsey Global Institue, une plus grande utilisation des technologies financières pourrait propulser la croissance des pays en voie de développement jusqu’à 3 700 milliards $ d’ici 2025, principalement via une augmentation des gains de productivité et une plus large inclusion financière.
Mais pour que les promesses de la digitalisation soient honorées, le monde va devoir aligner plus étroitement les stratégies de financement et d’investissement avec les résultats en matière de développement durable. Le mois dernier, le secrétaire générale des Nations Unies António Guterres a mis en place un groupe de travail sur le financement du numérique afin de répondre à ce défi complexe. Nous avons l’honneur de coprésider cet effort mondial.
Pour des raisons évidentes, les financements constituent la clé pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) ainsi que les objectifs d’émissions fixés par l’accord climatique de Paris 2015. Or, bien que l’épargne mondiale soit plus que suffisante pour appuyer la transition vers le développement durable, le système financier mondial échoue jusqu’à présent à assurer son rôle d’intermédiaire entre l’offre et la demande. Les avancées modestes accomplies par certains pays dans le financement du développement durable ne sont pas à la hauteur des besoins.
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