WASHINGTON, DC – L’année 2020 a tout bouleversé. Le monde est maintenant confronté à des crises sanitaires, économiques et climatiques interreliées sans précédent historique. Ces menaces conjuguées touchent tout le monde, mais sont particulièrement catastrophiques pour les pays en développement présentant des signes de vulnérabilité.
Le drame est que ces pays reçoivent relativement peu d’aide publique directe pour renforcer leurs capacités d’adaptation aux changements climatiques et l’aide au développement est plus en réduction qu’en expansion. Comme le secrétaire général des Nations unies António Guterres l’a fait remarquer au récent sommet sur l’ambition climatique de l’ONU, les pays développés ne sont pas en voie de donner suite à leur engagement d’assurer un financement annuel de 100 milliards de dollars pour venir en aide aux initiatives climatiques des pays en développement.
Il faut maintenant que la communauté internationale fasse montre de solidarité en aidant les pays vulnérables à surmonter les nombreuses menaces auxquelles ils sont confrontés. C’est dans l’intérêt de tous, car les effets des changements climatiques, de la pandémie COVID-19 et des crises économiques traversent toutes les frontières.
To continue reading, register now.
Subscribe now for unlimited access to everything PS has to offer.
While carbon pricing and industrial policies may have enabled policymakers in the United States and Europe to avoid difficult political choices, we cannot rely on these tools to achieve crucial climate goals. Climate policies must move away from focusing on green taxes and subsidies and enter the age of politics.
explains why achieving climate goals requires a broader combination of sector-specific policy instruments.
The long-standing economic consensus that interest rates would remain low indefinitely, making debt cost-free, is no longer tenable. Even if inflation declines, soaring debt levels, deglobalization, and populist pressures will keep rates higher for the next decade than they were in the decade following the 2008 financial crisis.
thinks that policymakers and economists must reassess their beliefs in light of current market realities.
WASHINGTON, DC – L’année 2020 a tout bouleversé. Le monde est maintenant confronté à des crises sanitaires, économiques et climatiques interreliées sans précédent historique. Ces menaces conjuguées touchent tout le monde, mais sont particulièrement catastrophiques pour les pays en développement présentant des signes de vulnérabilité.
Le drame est que ces pays reçoivent relativement peu d’aide publique directe pour renforcer leurs capacités d’adaptation aux changements climatiques et l’aide au développement est plus en réduction qu’en expansion. Comme le secrétaire général des Nations unies António Guterres l’a fait remarquer au récent sommet sur l’ambition climatique de l’ONU, les pays développés ne sont pas en voie de donner suite à leur engagement d’assurer un financement annuel de 100 milliards de dollars pour venir en aide aux initiatives climatiques des pays en développement.
Il faut maintenant que la communauté internationale fasse montre de solidarité en aidant les pays vulnérables à surmonter les nombreuses menaces auxquelles ils sont confrontés. C’est dans l’intérêt de tous, car les effets des changements climatiques, de la pandémie COVID-19 et des crises économiques traversent toutes les frontières.
To continue reading, register now.
Subscribe now for unlimited access to everything PS has to offer.
Subscribe
As a registered user, you can enjoy more PS content every month – for free.
Register
Already have an account? Log in