NEW YORK – Si la crise financière mondiale de 2008 a révélé le pire du capitalisme, la réaction du secteur privé à la pandémie du Covid-19 en dévoile le meilleur.
Le virus a déjà touché plus d'un million de personnes et causé plus de 70 000 morts, un bilan qui s'alourdit chaque jour. Il est encore trop tôt pour évaluer tout son impact sur l'économie mondiale, mais nous savons qu'un effort herculéen urgent est nécessaire de la part des Etats et du secteur privé pour éviter une récession dévastatrice.
Depuis la crise de 2008, les entreprises sont accusées de chercher à réaliser le maximum de profit, sans prendre en considération les besoins des sociétés au sein desquelles elles opèrent. Pourtant aujourd'hui elles interviennent énergiquement pour face à la crise sanitaire mondiale que nous traversons. Certaines auront besoin de l'aide publique pour survivre face à la sévérité de la crise, mais d'autres aident l'Etat en faisant partie de la solution.
NEW YORK – Si la crise financière mondiale de 2008 a révélé le pire du capitalisme, la réaction du secteur privé à la pandémie du Covid-19 en dévoile le meilleur.
Le virus a déjà touché plus d'un million de personnes et causé plus de 70 000 morts, un bilan qui s'alourdit chaque jour. Il est encore trop tôt pour évaluer tout son impact sur l'économie mondiale, mais nous savons qu'un effort herculéen urgent est nécessaire de la part des Etats et du secteur privé pour éviter une récession dévastatrice.
Depuis la crise de 2008, les entreprises sont accusées de chercher à réaliser le maximum de profit, sans prendre en considération les besoins des sociétés au sein desquelles elles opèrent. Pourtant aujourd'hui elles interviennent énergiquement pour face à la crise sanitaire mondiale que nous traversons. Certaines auront besoin de l'aide publique pour survivre face à la sévérité de la crise, mais d'autres aident l'Etat en faisant partie de la solution.