Au cours du dernier quart de siècle, la situation des médias et des régimes africains n'a cessé de connaître des progrès encourageants. Non seulement l'Afrique s'est dégagée des pires héritages du colonialisme, mais elle a aussi dépassé les contraintes rigides de la Guerre froide. Les vieux dogmes ont cédé la place à un nouveau pragmatisme, une nouvelle liberté d'innover, d'expérimenter et de trouver des réponses africaines aux défis africains.
L'Afrique a beaucoup appris sur la démocratie ces dernières années, à la fois sur sa fragilité et sur ses potentiels. On attend de plus en plus des gouvernements qu'ils opèrent des changements paisibles, encouragent une coopération régionale, attirent les compétences et sanctionnent les corrompus. Et le progrès ne touche pas que les gouvernements. Comme l'a conclu dans un récent rapport la Commission économique pour l'Afrique : “La société civile et les médias ont vu leurs voix et leurs pouvoirs augmenter au cours de la dernière décennie de réformes démocratiques.”
Mais il reste beaucoup de chemin à parcourir dans plusieurs domaines, particulièrement pour les médias.
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While Europe bears disproportionate historical responsibility for climate change, it accounts for just 7.5% of global emissions today, meaning that the actions taken within the EU can have only a limited impact on the world’s climate. In fact, the only solution to climate change is a global one.
reiterates the EU’s commitment to advancing mitigation and adaptation, at home and globally.
Rather than reducing concentrated market power through “disruption” or “creative destruction,” technological innovation historically has only added to the problem, by awarding monopolies to just one or a few dominant firms. And market forces offer no remedy to the problem; only public policy can provide that.
shows that technological change leads not to disruption, but to deeper, more enduring forms of market power.
Au cours du dernier quart de siècle, la situation des médias et des régimes africains n'a cessé de connaître des progrès encourageants. Non seulement l'Afrique s'est dégagée des pires héritages du colonialisme, mais elle a aussi dépassé les contraintes rigides de la Guerre froide. Les vieux dogmes ont cédé la place à un nouveau pragmatisme, une nouvelle liberté d'innover, d'expérimenter et de trouver des réponses africaines aux défis africains.
L'Afrique a beaucoup appris sur la démocratie ces dernières années, à la fois sur sa fragilité et sur ses potentiels. On attend de plus en plus des gouvernements qu'ils opèrent des changements paisibles, encouragent une coopération régionale, attirent les compétences et sanctionnent les corrompus. Et le progrès ne touche pas que les gouvernements. Comme l'a conclu dans un récent rapport la Commission économique pour l'Afrique : “La société civile et les médias ont vu leurs voix et leurs pouvoirs augmenter au cours de la dernière décennie de réformes démocratiques.”
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