

Nearly three months after Russia launched its invasion, Western countries appear more committed than ever to Ukraine’s defense, and, in some quarters, to Russia’s defeat. We asked PS commentators what outcome the West, Russia, and Ukrainians themselves can realistically expect.
MADRID – Dans trois mois, les citoyens britanniques devront décider s’ils resteront ou non au sein de l’Union européenne. Mais ils ne sont pas les seuls à devoir évaluer leur avenir politique. Le prochain référendum pose aussi deux questions importantes pour le reste de l’Europe.
La première question consiste à savoir quel résultat du référendum les Européens préfèrent ou devraient préférer. Certains ont déjà jeté l’éponge sur le dossier du Royaume-Uni, faisant valoir qu’un partenaire envisageant de quitter l’Union n’est pas, de toute manière, le genre de partenaire dont il voudrait. Que l’on souscrive ou non à cette opinion, il vaut la peine d’étudier cet argument. En fait, ce serait faire preuve de naïveté de ne pas se poser la question suivante : « Retenir à tout prix un membre qui remet en question le principe même de l’intégration européenne est-il réellement dans l’intérêt supérieur de l’Union européenne ? »
En réalité, le débat public britannique sur la souveraineté ne cessera pas après le scrutin. Après tout, même si la majorité répond « oui » à l’Union européenne, un segment de la population qui selon les sondages est non négligeable demeurera convaincu que la Brexit aurait été préférable pour le Royaume-Uni.
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