DACCA – Depuis quarante ans, le secteur du vêtement alimente l’économie du Bangladesh, et emploie davantage de personnes que n’importe quelle autre industrie. Les femmes ont particulièrement bénéficié de cet essor de l’embauche. Aujourd’hui, la majorité des quatre millions d’employés du secteur sont des femmes.
Mais si le commerce du textile permet aux femmes de gagner leur vie, et favorise l’évolution d’une société patriarcale, cette autonomisation économique n’a pas véritablement amélioré l’égalité des sexes et le bien-être des femmes. Au contraire, celles qui exercent un emploi dans le plus grand secteur du Bangladesh sont aujourd’hui en difficulté sur deux fronts – à la maison et au travail.
Bien que la question de l’exploitation des être humains ait été traitée à de nombreuses reprises, rares sont les données disponibles s’agissant des considérations de santé et de sécurité des femmes dans ce secteur. Notre organisation, l’icddr,b (Centre international pour la recherche sur les maladies diarrhéiques, Bangladesh), œuvre pour un changement dans ce domaine. Dans le cadre d’une série d’études récentes, nous avons exploré les problématiques de santé et de bien-être – physique et émotionnel – rencontrées par les femmes qui confectionnent les vêtements qu’elles n’auront jamais les moyens de s’acheter.
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Given this summer's climate-driven disasters, one might think that the European political system would be devising comprehensive adaptation plans. But, despite some steps in the right direction, Europeans are only just waking up to the constitutional implications of a changing physical environment.
thinks a changing climate will force the European Union finally to embrace its political nature.
DACCA – Depuis quarante ans, le secteur du vêtement alimente l’économie du Bangladesh, et emploie davantage de personnes que n’importe quelle autre industrie. Les femmes ont particulièrement bénéficié de cet essor de l’embauche. Aujourd’hui, la majorité des quatre millions d’employés du secteur sont des femmes.
Mais si le commerce du textile permet aux femmes de gagner leur vie, et favorise l’évolution d’une société patriarcale, cette autonomisation économique n’a pas véritablement amélioré l’égalité des sexes et le bien-être des femmes. Au contraire, celles qui exercent un emploi dans le plus grand secteur du Bangladesh sont aujourd’hui en difficulté sur deux fronts – à la maison et au travail.
Bien que la question de l’exploitation des être humains ait été traitée à de nombreuses reprises, rares sont les données disponibles s’agissant des considérations de santé et de sécurité des femmes dans ce secteur. Notre organisation, l’icddr,b (Centre international pour la recherche sur les maladies diarrhéiques, Bangladesh), œuvre pour un changement dans ce domaine. Dans le cadre d’une série d’études récentes, nous avons exploré les problématiques de santé et de bien-être – physique et émotionnel – rencontrées par les femmes qui confectionnent les vêtements qu’elles n’auront jamais les moyens de s’acheter.
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