SEOUL – Une question revient comme un cliché aujourd’hui en Corée du Sud : qui serait le prochain président du pays si les élections devaient se ternir demain, plutôt qu’en décembre 2012 ?
De nombreux sondages d’opinions donnent la victoire à Park Geun-hye du Grand Parti National au pouvoir. Le cas échéant, elle serait la première femme présidente de la Corée du Sud et pour ses rivaux, sa position dominante dans la course est un fait inconfortable mais inattaquable.
Les électeurs sud-coréens de tous âges et de toutes régions ont accueilli Park comme candidate pour leur pays. Son style politique est à la fois rafraichissant et pertinent, parce qu’elle se présente avec sincérité et sans ambigüité à un moment où l’opinion publique a soif de direction morale. Et elle a un étonnant talent pour simplifier les questions complexes de manière appropriée – et pour interpréter et manipuler les connotations politiques de ces mêmes questions – un héritage probablement reçu de son père, l’ancien président Park Chung-hee.
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At the end of European Communism, there was a widespread, euphoric hope that freedom and democracy would bring a better life; eventually, though, many lost that hope. The problem, under both Communism and the new liberal dispensation, was that those pursuing grand social projects had embraced ideology instead of philosophy.
considers what an Albanian Marxist philosopher can tell us about liberty in today's world.
For the US, Slovakia's general election may produce another unreliable allied government. But instead of turning a blind eye to such allies, as President Joe Biden has been doing with Poland, or confronting them with an uncompromising stance, the US should spearhead efforts to help mend flawed democracies.
reflect on the outcome of Slovakia's general election in the run-up to Poland's decisive vote.
SEOUL – Une question revient comme un cliché aujourd’hui en Corée du Sud : qui serait le prochain président du pays si les élections devaient se ternir demain, plutôt qu’en décembre 2012 ?
De nombreux sondages d’opinions donnent la victoire à Park Geun-hye du Grand Parti National au pouvoir. Le cas échéant, elle serait la première femme présidente de la Corée du Sud et pour ses rivaux, sa position dominante dans la course est un fait inconfortable mais inattaquable.
Les électeurs sud-coréens de tous âges et de toutes régions ont accueilli Park comme candidate pour leur pays. Son style politique est à la fois rafraichissant et pertinent, parce qu’elle se présente avec sincérité et sans ambigüité à un moment où l’opinion publique a soif de direction morale. Et elle a un étonnant talent pour simplifier les questions complexes de manière appropriée – et pour interpréter et manipuler les connotations politiques de ces mêmes questions – un héritage probablement reçu de son père, l’ancien président Park Chung-hee.
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